• detective.jpg  Depuis que Fr….. m’avait fait découvrir Merlimont, petite ville du Pas de calais http://www.grisy.net/30-categorie-736764.html , j’avais de vrais coups de cœurs pour cette région et je m’y promenais beaucoup. Je pouvais déjà prétendre mieux connaître les alentours que lui ! Au hasard de mes balades, j’avais rencontré là bas un  numérologue http://alinepasqui.chez-alice.fr/num6.htm  en qui je croyais. Je m’étais promis de revenir prendre rendez vous pour une consultation plus approfondie. Les mois passaient. Je ne me sentais pas prête.

    Forte de ma colère http://www.grisy.net/article-19976151.html , car la colère donne de l’énergie, je me rendis à Montreuil sur mer http://www.tourisme-montreuillois.com/culture.php  dite « la Carcassonne du nord » , ville médiévale surplombant la canche http://www.tourisme-montreuillois.com/nature.php , entre Berck sur mer et Boulogne sur mer. C’est ma façon d’évacuer un peu…… je pars, je visite, cela me ressource.

    J’arpentais vaillamment les pavés du centre ville, me laissant apprivoiser par les vieilles pierres dont je raffole. Je remontais jusqu’à la porte du château fort, longeais le chemin des remparts, fis une halte devant la statue de la Vierge, juste avant le petit pont. Je n’avais pas l’esprit tranquille, j’étais obnubilée par ces runes http://www.revedanges.com/runes/runes.htm que j’avais aperçues en vitrine dans une petite rue sur le côté de la place pavée. Il fallait que je pousse la petite porte chargée d’histoire. Il fallait que je m’aventure jusqu’au comptoir ou cet homme, d’apparence collant parfaitement au décor, m’avait si bien accueillie quelques mois auparavant.

    Je cherchais, non pas à me faire prédire l’avenir, non ! Je cherchais quelque chose de très important pour mon fils C……

    Souvenez vous : il avait fait une recherche de paternité http://www.grisy.net/95-categorie-736764.html . La police avait bien retrouvé un homme correspondant au père légitime de C….. mais ce dernier refusa de voir son fils. C’était doublement amer pour C…… ! Non seulement, son père biologique m’avait abandonnée lorsque j’étais enceinte http://www.grisy.net/article-4697940.html  et que ma mère était mourante http://www.grisy.net/175-categorie-736764.html , mais en plus d’avoir fermé son cœur à la chair de sa chair, il l’ignorait, il l’avait carrément chassé de sa vie, de sa mèmoire, avant même qu’il soit né.

    C….. , dépité par cette nouvelle avait laissé tomber l’idée de connaître un jour son vrai père mais il en était très malheureux. Il n’avait aucun point de repère si ce n’est que je lui avais toujours dit qu’il lui ressemblait. Je n’avais pas de photographie, je ne connaissais pas son adresse, je savais juste dire à C….. que cet homme s’appelle BL http://www.grisy.net/article-4553924.html . La vraie carte d’identité n’est pas ce fichu bout de plastique qui nous sert à justifier notre présence sur terre, non ! L’identité est dans les gênes et je me réjouis qu’aujourd’hui, nous soyons capables de retrouver quelqu’un grâce à son ADN http://chimie.scola.ac-paris.fr/sitedechimie/chi_orga/bioorga/adn.htm .

    Avant de partir pour Montreuil sur mer, j’avais relevé sur minitel (outil informatique relié à France telecom et très usité avant qu’internet voit le jour http://fr.wikipedia.org/wiki/Minitel ) les noms et adresses de tous les BL de France…enfin, ceux qui n’étaient pas sur liste rouge (droit à l’anonymat) . J’avais noté précieusement les quelques vingt adresses qui pouvaient coller à ma recherche. J’avais également consulté une médium http://fr.encarta.msn.com/encnet/features/dictionary/DictionaryResults.aspx?refid=2016017563 , dans l’espoir d’être aiguillée au moins sur le lieu. Les parents de BL habitaient Lille lorsque nous nous fréquentions. Je pensais qu’il était probablement resté dans le nord mais ce n’était qu’une déduction logique lorsque la voiture n’existait pas mais de nos jours…… on se déplace aisément !

    La médium procédait par messages de l’au delà, disait elle. J’avais été à l’écoute et avais ainsi découvert que je faisais une erreur dans l’orthographe du nom. J’avais donc étendu la recherche. J’aurais bien entendu pu demander à cette chère frangine de C…… car elle avait certainement gardé les coordonnées des parents, avide comme elle était de nuire aux autres ! Mais je préfèrais l’ignorer : cette frangipane est fourrée à l’arnaque et j’ai trop soif de vérité pour jouer son jeu. Je ne m’en rendais pas compte mais Fr…… semblait m’avoir été envoyé pour me mettre sur la piste (c’est bien plus tard que j’en pris conscience). C’était assez  étrange : certains personnages sont passés dans mon existence, uniquement pour servir à ma cause, à leur insu autant qu’à la mienne. C’est toujours après coup que je réalise qu’ils n’ont pas été là par hasard mais poussés par je ne sais quelle main mystérieuse. Ils sont des instruments mis à ma portée et seul Dieu en a l’explication, je pense. Pour simplifier mes recherches, la médium me conseilla de cerner les dates de naissance de tous ces BL, et pour cela me dit « vous connaissez bien quelqu’un qui connaît quelqu’un à la sécurité sociale » « Non, je ne vois pas ». De retour à la maison, j’eus comme un déclic. Fr….. m’avait parlé d’une copine qui travaillait à la sécurité sociale ! Je donnais donc ma liste à Fr……. pour que la copine fasse le tri selon les dates de naissance. Mais Fr…….. n’avait  aucune notion du temps et cette liste est à ce jour encore dans sa poche. Je confirme qu’on n’est jamais mieux servi que par soi même. Je me suis passée des services de mon cher et tendre.


    ......221ème épisode..........à suivre........dans la série Biographie..............

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  •  0.752!OpenElement&FieldElemFormat=gif  Déjà au premier abord, on ne peut pas dire qu’on soit séduit, ça ressemblerait plutôt  à une chaussette qu’on accroche à la cheminée pour le Père Noël, extra large, mais  avec de la dentelle autocollante au bout. Et puis en survolant la notice on se dit que ça ne va pas coton d’enfiler ce truc, vu que vos jambes quand même sont deux fois plus longues, voire trois pour ceux qui  approchent la taille mannequin.

    Qu’on se rassure, on m’a assuré que c’était bien la bonne taille qu’on m’exhibait là. Alors chaussettes ou bas ?  That is the question ! J’aurai pu opté pour de vulgaires chaussettes plus commodes à mettre et moins chères, mais le médecin avait prescrit bas, alors j’ai tranché : va pour les bas.

    La pharmacienne qui ne savait pas encore que j’avais la grosse tête a juste mesuré mes chevilles. D’abord la droite vu que c’est celle qui pose le plus problème et l’autre pour faire le pendant. Voyez, c’est « extensible » a-t-elle susurré en déballant le joli cadeau de sa boite.

    Devant une horreur pareille qu’elle n’hésitait pas à élever dans les airs, devant toute la compagnie, j’ai demandé si je pouvais les porter la nuit ! La nuit ça ne sert à rien qu’elle a dit, et le pharmacien de s’en mêler : la nuit vous pouvez déjà surélevez votre lit ! C’est fait ai-je répliqué : j’ai mis deux briques sous chacun des pieds ! 

    Quant à la couleur, j’ai eu le choix entre du noir corbeau bien dense et du vieux marron glacé, que la pharmacienne nomma « halé » Et pour le retour je lui ai fait ? J’ai attendu le temps qu’elle comprenne, pour réitérer. Très sérieuse, elle a confirmé que justement c’était fait pour le retour, le retour veineux. Ho, ha ha, elle a le sens de la répartie, la dame !  Mais elle a à peine daigné sourire à ma sortie du jour, même si ça fait des années qu’on se fréquente dans son officine. Évidemment je lui demandais pas d’éclater de rire, car ça n’est guère l’usage dans ce genre d’endroit, mais d’avoir l’air au moins réjouie.

    Bon je sais depuis quelque temps,  elle me boude depuis que j’ai râlé un jour parce qu’elle ne voulait pas me donner un somnifère que le toubib m’avait bel et bien prescrit, mais qu’il avait oublié de réécrire sur le double que je lui remettais. l’autre double où le médoc en question était inscrit, l’autre double disais-je était parti via la sécu. Donc plus de trace. J’étais furieuse, vu que c’est moi qui paie et que je dormais mal depuis des jours, because la cortisone et le bruit dans ma rue. Bref, j’avais fais un mini scandale dans la pharmacie, (entre nous il n’y avait personne) et la madame de ne pas apprécier que je rue pour un petit somnifère de rien du tout !  Parce que sa responsabilité étant engagée tout de  même ! Le pharmacien lui, n’était pas là, ceci explique cela.   

    Comme je ne pouvais pas claquer la porte, vu que c’est une porte qui se ferme toute seule,  je me suis juré de ne jamais remettre les pieds ici, mais comme c’est à coté, j’ai rabaissé ma fierté d’un cran et je suis revenue ! Parce qu’il faut que vous le sachiez, que dans ma période cortisone obligatoire, je rue facilement,  donc faut pas me chercher.

    J’en reviens donc à mes horreurs, heureusement que je porte un pantalon, sinon je ne sortirai plus de chez moi ! En principe personne ne devrait s’en rendre compte, pensai-je en un éclair, sauf si je porte des ballerines échancrées.     

    En attendant, le plus dur, pour ceux qui connaissent le système, c’est l’enfilage, mais aussi le désenfilage ! D’ailleurs un inventeur a inventé un appareil génial pour simplifier l’exercice aux impotents ! Si,si regardez sur Internet.

    L’enfilage : d’abord faut se faire à l’idée et se dire qu’il y a pire dans la vie et que c’est pour un mieux  évident et un confort personnel quand on passe des heures assis les yeux rivés sur son ordinateur, comme moi et les autres de mes consoeurs et frères.

    Premièrement se relaxer, s’asseoir c’est mieux, parce que debout c’est un truc à se ficher la binette par terre et ce n’est pas le but recherché…. Ensuite s’armer de patience et…. respirer profondément. Commencer par le pied, s’assurer que les ongles soient au carré et que pas un ne dépassent ni ne soit entaillé, puis y aller modérément, surveiller les faux plis, et par petits à coups : enfilez, tendez, enfilez, tendez, écarter un peu sur les cotés pour faire rentrer la marchandise et recommencer : enfilez, tendez, enfilez, tendez, comme à la pêche quand on a du gros au bout, genre un esturgeon, sauf que là ça peut durer des heures et des heures.   

    Là, au pire on y mettra un quart d’heure pour les deux jambes !

    Après cet exercice harassant, on n’a qu’une envie dormir mais c’est pas le moment,  il faut vite cacher le tout sous un pantalon seyant et sortir au grand air, et marcher, marcher, même s’il tombe des cordes, marcher, marcher ou monter ses escaliers quinze fois de suite… si… c’est marqué aussi sur le papier !

    Enfin, n’allez pas croire que j’ai les chevilles gonflées par plaisir, c’est arrivé avant qu’on m’ait annoncé que j’étais nominée au prix Philippe Delerm, alors si ça vous arrive aussi, si vous ne savez plus quoi faire pour remédier à cet état de fait : les chevilles gonflées, n’hésitez pas, faites comme moi, optez pour la contention sans façon !

                       

                                                              

    Brigitte Lécuyer


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  • Savoir où le bât blesse 

    Connaître les peines cachées, les ennuis secrets de quelqu'un

    Sur une femme, il est très rare que le bas blesse, mais sur un âne ?
    D'abord, il bas de soie qu'il ne faut pas confondre le bas qui, de nos jours, est un vêtement féminin destiné à protéger du froid les jambes de la femme ou bien à exciter le mâle en rut, et le bât qui, sur une bête de somme (qu'elle soit de Somme ou d'ailleurs) est, selon le Robert, "un dispositif, généralement en bois, que l'on place sur le dos de l'animal pour le transport de leur charge".

    Les gens du XVe siècle, ceux qui ont fait et vu naître cette expression, n'étaient pas plus des ânes bâtés que nous. Ils s'étaient bien rendus compte que le bât, s'il est mal placé ou si la charge est trop importante, laisse des blessures à l'animal, qui sont généralement cachées car elles ne deviennent visibles qu'une fois que le dispositif est enlevé, et qui peuvent rendre la bête mélancolique ou irritable, exactement comme l'est l'homme qui a des peines ou des ennuis secrets.


    Clic sur la photo
    sganarelle.jpg 

    Sganarelle, chez Molière, disait "

    vous savez bien où le bât me fait mal...", variante ancienne de la locution.

    Source http://www.expressio.fr

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  • Indifference_by_Komikron.jpgFR était vraiment débordé . Il travaillait le samedi pour rattraper son retard . Madame décida elle aussi d’aller travailler le samedi, pour mieux le surveiller sans doute. Ainsi, il ne pouvait pas se libérer pour me rejoindre après. La tentation de prendre la poudre d’escampette me montait à la tête et je devais me contenir fortement car Jo………  http://www.grisy.net/article-13675289.html   

    insistait lourdement pour ressortir avec moi.

    Depuis que Fr….. connaissait sa femme (quatorze ans de mariage), elle le bernait et il n’y voyait toujours rien ! J’avais du mal à croire qu’il fût si bête. Ce jour là, il m’avait effectivement appelée pour me dire qu’il venait manger avec moi le midi. J’étais très heureuse. Une heure plus tard, il me rappelait pour m’annoncer qu’il avait un problème : les collègues de travail de sa femme l’invitaient à manger ! J’avais tout de suite compris qu’elle avait calculé son coup de manière très machiavélique. Ce n’était pas elle …c’était ses copains ! Et plouf ! Fr…… était tombé dans l’panneau ! Je me suis mise en colère et lui ai fait part de mes soupçons. Il ne m’a pas crue, bien sûr. Il m’a juré, promis qu’il ferait le maximum pour me voir après…. A minuit,  il ne m’avait même pas rappelée. Je savais qu’il était invité chez un pote qu’il n’avait pas revu depuis deux ans et pour cause …sa femme les avait brouillés comme avec tous ses autres potes. Elle ne supportait pas qu’il s’entende bien avec d’autres personnes qu’elle. Un autre de ses amis lui avait dit qu’il était un con de rester avec une pareille peste. Il s’était senti insulté et m’en avait parlé. J’avais donné raison à ce mec. Fr…….. – en compagnie de sa chère et tendre que je commençais à haïr fortement – avait revu son pote le dimanche d’avant à la brocante de Houilles http://www.grisy.net/article-19871921.html et les relations semblaient s’être améliorées entre cette chère et tendre et le pote, d’où l’invitation du soir. J’étais convaincue qu’elle le piégeait encore avec cette soit disant réconciliation et lui, bon enfant, pensait qu’elle était sincère et se ravissait de ces retrouvailles. Il allait encore tomber de haut ! En attendant je commençais à en avoir ma claque. Elle faisait tout pour nous séparer et c’était en bonne voie car maintenant je souffrais beaucoup trop et j’étais prête à tout laisser choir par un trop plein de désespoir. Je ne voulais pas m’en prendre à Fr…… car je savais qu’il aurait aimé être avec moi  mais j’étais irritée parce qu’il ignorait ou voulait ignorer à quel point elle était méchamment tordue. Je lui en voulais de ne pas réagir. Il était en train de me perdre et ne s’en apercevait pas. C’était du gâchis qui me donnait la nausée.

    Il s’en était sorti par une pirouette que je n’aurais même pas osé imaginer ! Il m’avait appelée le dimanche suivant pour me souhaiter mon anniversaire. Soit, nous étions bien le huit mais avec un mois d ‘avance. J’étais persuadée que c’était une combine parce qu’il savait que j’étais en colère. Il était inimaginable qu’il se soit trompé de date : cela ne lui ressemblait pas. Au pire, il aurait oublié mais pas se tromper ainsi !  Il l’a nié, bien sûr. Quoi qu’il en soit, j’étais tellement déstabilisée par cette supercherie que je l’avais pardonné encore une fois et c’était reparti comme en quatorze ! Sauf que depuis, il recommença maintes et maintes fois à annuler à la dernière minute nos rendez vous ou bien à me faire croire que l’on se verrait…..et puis rien d’autre que des coups de fil « je n’ai pas le temps ! », etc…. Nos rencontres devenaient d’ailleurs de plus en plus courtes.

    Je partais les jours suivants à Voiron http://www.grisy.net/article-14029385.html  pour fêter le baptême de ma petite fille R……... Il savait que j’avais de la route à faire……..il ne m’appela même pas pour savoir si j’étais bien arrivée. Tout dans son attitude me laissait penser qu’il n’en n’avait plus rien à faire et je ne supportais plus. Nous sommes restés cinq jours sans nous voir et il n’était même pas pressé de faire le contact. J’étais certaine qu’il avait prit du bon temps avec bobonne !

    Un soir, alors qu’il m’appelait pour m’annoncer encore et encore qu’il partait sans me voir (manque de temps évidemment et pourtant je ne savais pas ce qu’il avait fait dans l’après midi car il était revenu de manger à 15h45………alors bien sûr, après il n’y avait plus de place pour moi puisqu’il allait chercher ses enfants à l’école), je lui dis que je le trouvais plutôt salaud avec moi en ce moment. « D’accord, on se voit demain », d’un air de dire : on en parle. « Non, je ne suis pas sûre ». Il  insista « on se voit demain »… »non, je ne suis pas sûre », ai je rétorqué en pleurant. "Je ne peux pas continuer comme cela : je ne supporte plus. Une seule chose cloche dans notre couple mais elle est de taille et pourrait bien tout faire stopper".
    Je ne supportais plus cette indifférence ! Quand on aime quelqu’un comme il le prétendait, on n’agit pas de la sorte. Je savais qu’il  se disait que j’allais encore pardonner mais il avait tout faux. J’étais profondément blessée : c’était la goutte qui faisait déborder le vase. Ou il changeait quelque chose, ou bien je le quittais……..j’en étais arrivée là. Après tout, je prenais le risque. Si vraiment il m’aimait, il ferait ce qu’il faut pour me garder. Dans le cas contraire, je serais très déçue mais au moins les choses s’éclaiciraient nettement et j’arrêterais de pleurer pour ce mec.


    ......220ème épisode..........à suivre........dans la série Biographie..............

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  •                                                   Prends, lis

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    Saint Augustin  Un jour que saint Augustin, violemment agité par les hésitations qui précédèrent sa conversation, s'était réfugié dans un bosquet pour s'y recueillir, il entendit une voix prononcer ces mots : "tolle, lege".
    Jetant les yeux sur un livre que lisait son ami Alype, il tomba sur une épitre de Saint Paul, qui décida de sa conversation.


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