• (qui me supporta sans un mot)   

    Deux roues, tu m’as sauvée  

    Des pattes des insensés. 

    Avec toi je les ai roulés, 

    Aujourd’hui j’ai du jarret ! 

    Qu’aurais je fait sans toi 

    Ne connaissant ni la foi ni les lois ? 

    Qu’aurais je vécu sous mon toit 

    Sous le regards de ces rois ? 

    Le quatre vingt quinze B 

    Tu m’as fait oublier.. 

    UN instant : celui de la puberté… 

    Sois remercié. 


    2 commentaires
  • 666

     Aujourd'hui 06/06/06..............666 !

     ........ Vas dans l'métro, sac à glace ................

    Vade retro Satanas ..................


    1 commentaire
  • De tous les temps, les gens n'ont eu de cesse 

    de vouloir me transformer. 

    "tu devrais te maquiller, raffermir tes fesses" ! 

    Ne suis je donc pas bien née ?  

    Suis je si laide, 

    Que pour ma cause on plaide ? 

    Ou bien suis je si belle, 

    Que l'on veuille faire de moi une poubelle ?  

    Désolée, "chers amis", vous ne me changerez pas... 

    De votre imagination je ne suis point fada. 

    Je me plais à moi même et sans prétention, 

    J'ose affirmer que nous ne sommes pas des jambons.  

    La nature m'a donné des défauts, 

    Mais aussi des qualités pour vivre. 

    Alors, point trop n'en faut... 

    Ce que je recherche, c'est l'équilibre.  

    Mini jupe et m'as tu vue, 

    Je n'aime pas en mettre "plein la vue". 

    Le cœur que je toucherai 

    Sera celui d'un homme sincère et vrai.  

    Sortez de ma route, vils superficiels, 

    Ce n'est pas vous qui tirez mes ficelles. 

    Moi aussi j'irais au ciel. 

    Et en sortirai d'autant plus belle.


    1 commentaire
  • En juin, temps de chien..................

    Dicton adapté à notre ère..........entendu sur France 2 dans l'émission "Télé matin"


    votre commentaire
  •   

     

    Du jazz à flots, des flots près du jazz,

    La musique flotte au dessus du port. 

    Envoûtante nuit noire, jazz is black ! 

    Nous flânons, portés par les notes, et mon âme vagabonde. 

    L'immensité donne à croire au "sans faute" 

    Plus une mouette ne rie à la ronde. 

    Je pose là mes fesses sur la jetée, mes pieds ont le blues ! 

    J'admire, je m'emplis des délices de la nuit. 

    Soudain la batterie s'enflamme : 

    Un concert, un solo....que dis-je ...

    Un délire nous prend  aux tripes. 

    Ce petit homme saute, virevolte, il est branché sur cent mille volts !

    Son tam tam, ses baguettes, rien ne lui résiste.

    Toute la ville, le cœur en fête, tape du pied sur le macadam. 

    Chaleur moite et contrebasse, merveilleuse odeur de sucre et jamais de marée basse. 

    Tendre Brusc, brusque joie !!!

    Avec ce poème, j'ai obtenu le Titre de « Poète émérite» au concours 1998 de la Bibliothèque Internationale de poésie à Evreux (27012) 


    1 commentaire