• Qui bene amat, bene castigat 

                                                       ........ qui aime bien, châtie bien .................

    Application facile puisque le châtiment n'a d'autre but que de corriger les défauts ou les vices de celui qu'on aime


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  • Partout où j’irais, les potes iront (potirons)..
    Qu’est ce à tirer de cette leçon ? :
    Un lien, un bonheur qu’il faut saisir à son heure.

    L’Amour n’est pas ce que l’on croit,
    C’est mieux encore !
    Pour que cela dure je croise les doigts.

    On apprend à tout âge,
    Point question
    de tourner la page,
    L’amour fait des ravages.

    De mes entrailles tu fais un paradis,
    Où pèle mêle tu invites ton ami.
    Rien de choquant....vive la vie !

    Voilà donc un trigone pur et accouplé,
    A Vous deux vous formez ma bande.....
    Et quand je pense à Fernande... !

    Mon Dieu, la bandaison, ça ne se commande pas !
    (sic Brassens)

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  • Me voici bloquée dans les embouteillages et je me sens épiée, 

    Epiée par ces quatre grandes tours de béton dressées comme des gendarmes, 

    droites et implacables. 

    ....D’un œil oblique, j’esquisse une perspective à faire frémir les cas de conscience..... 

    Comment s’échapper ? A qui la faute ? 

    Comment fuir cet amas de gazs plus polluants les uns que les autres ? 

    Comment sortir de ce piège ? 

    Je suis là.. lasse et bloquée sur mon siège. 

    ....D’un œil oblique, j’examine le plus profond de mon tourment..... 

    Dans ce chaos, je n’y vois pas de prince charmant, 

    ma vie est solitaire. 

    Contrairement à ce bijou de fortune,

    Moi..je n’ai pas une tune ! 

    ....D’un œil oblique, je me sens profondément abîmée..... 

    Il faut que je sorte de cette toile d’araignée, 

    Que maille à maille je trouve ce qui m’aille. 

    Je ne veux plus saigner, 

    J’ostente à faire ripaille. 

    ....D’un œil oblique, je prends la tangente..... 

    Adieu, veaux, vaches, couvées, ne me cherchez plus.. 

    Je me suis sauvée. 


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  • Bru : crue, grue, incongrue.. 

    Je n ‘en peux plus. 

    Souviens toi comme j’étais heureuse que tu l’aies rencontrée, 

    Souviens toi comme pour ton bonheur j’aurais tout sacrifié ! 

    J’étais loin de m’imaginer qu’elle m’évincerait ! 

    Nos deux mondes sont si différents, 

    Moi - seule à jamais - 

    Me battant contre tous les vents, 

    Dans un souci de paix, 

    Eux - famille complète - 

    En perpétuelle bagarre, tellement avides d’embrouilles ! 

    Pardon si je me répète, 

    Mais je maintiens que l’équilibre ne se nourrit pas de cornouilles. 

    Ingratitude des enfants ! 

    Cette sentence est bien connue. 

    Pourquoi vouloir choisir entre les parents ? 

    La fusion serait mieux reçue. 


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  • (ode à vous que j’aime et aimerais toujours)  

     

    Vous les mecs, 

    Vous ne réfléchissez qu’avec votre tête.. 

    Mais ce n’est pas celle à laquelle on pense.. 

    Sur votre cas je me penche.  

    Votre matière grise serait plutôt de la matière blanche, 

    Vous nous considérez un peu trop comme des planches. 

    Vous les mecs, 

    Vous vous croyez infaillibles.. 

    Vous pensez que pour vos bijoux nous tendons le bec, 

    De vos joyaux vous êtes risibles. 

    Votre écrin n’a pas de chien, 

    Pour vous je ne peux rien. 

    Vous les mecs, 

    Vous trichez avec les sentiments, 

    Par faiblesse vous nous manquez de respect.. 

    Pas étonnant qu’on vous laisse sur le flan. 

    Votre amour est souvent plus fort que le notre, 

    Mais si déplacé que sur vous nous remettons la faute. 


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