• Je travaille dans un milieu principalement masculin. J'ai donc droit chaque jour, à une foultitude de "serrage" de mains. Je ne peux m'empêcher de sourire, rapport à l'art et la manière de ceux qui ont un air de ne pas en avoir l'air. La poignée de main peut largement s'apparenter à la chanson de Pierre Perret "Tout, tout, tout.......vous saurez tout sur le zizi". Il y a les molles (celles là, je ne les voudrais pas dans mon lit !), il y a les entreprenantes qui mine de rien vous obligent à faire un pas en avant, il y a les repoussantes qui semblent dire "passe ton chemin", il y a les moites (celles des timides), il y a les tremblantes (celles de ceux qui aimeraient ben mais ne peuvent point) et puis il y a les sages, tout à fait impersonnelles et distantes. Ce sont celles des gens "bien pensants à cause de leur position sociale".

    Certains privilégiés ont droit à la bise. Il y a là encore de quoi faire tout un poème, de la bise dérapante à la bise rougissante..............

    Je vous dédie ce coup de chapeau, Messieurs, pour l'amour des dames que vous manifestez sans trève.


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  • L'argent appelle l'argent


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  • Honnêteté, honnêteté chérie,
    Quand tu nous tiens...
    Rien n'est plus permis,
    Et tu nous mènes une vie de chien.

    Pauvre mais honnête (maisonnette)
    J'aime faire la fête.
    Alors on me soupçonne, on m'épie....
    Il n'est pas normal que de joie soient mes cris !

    On aimerait que dans ma misère,
    D'une cloche j'ai l'air.
    Nennie.... Point d'accord !!
    De toutes vos tricheries, je ne serai point mort.

    Lorsque vos lois je veux appliquer,
    Je me trouve inculpée,..
    Fautive de jouer votre jeu !
    Vous ne faites à mon âme..... Que des bleus !

    Loi des hommes, hommes de loi bannis,
    En vérité je vous le dis,
    Vos garanties sont du pipi,
    Et de vous je me rie.

    A vous qui détenez le monopole de la carpette,
    Justice sera faite.
    De poussière vous retournerez poussière,
    Et moi, je ferais toujours la fête.... Çà j'en suis fière !

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  • Tu m'emballes, tu m'empales, on s'en parle.
    Tu cavales doux cheval, et tu râles ...

    Au son de tes mensonges,
    Une haine montante me ronge.
    Je laisse faire l’avenir et sans rien dire,
    Te maudis pour tant d’amour.
    Je t’écoute, je t’entends,
    Mais rien n’efface mes doutes.

    Au son de mon cœur,
    Une envie montante me fait peur.
    Je laisse faire mes désirs et sans rien dire,
    Te maudis pour tant de bonheur.
    Tu te fonds, suave et délice,
    Au fond de mes cuisses.

    Au son de tes ardeurs,
    Une jouissance montante grandit d’heure en heure.
    Je te laisse faire, mon doux Seigneur,
    Tant de joie attise mes pleurs.


    Je m’emballe, tu m’empales, on s’en parle,
    Tu cavales doux cheval, et je râle...


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  •  Le Bush à Bush (père à fils)

    ....... Le bouche à bouche .........


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