• ........ Vous pétuniez Madame ?



    Il est désormais interdit de pétuner dans les gares, dans les aéroports, dans tous les lieux publics.......

    Pétuner, c'est fumer du pétun, autrement dit du tabac.

    C'est aussi priser, à savoir aspirer de la poudre par le nez.


    Et........ tirer sur une pipe ?........ c'est aussi pétuner !



    Source : http://www.evene.fr/livres/livre/bernard-pivot-100-mots-a-sauver-24303.php


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  •  Chambardement en mon fort intérieur ! drôle de sensation, drôle de sentiment, drôles de ressentiments ! j’avais attendu cinq mois et demi pour enfin savourer ces deux jours inoubliables, riches en prises de conscience  http://www.grisy.net/article-29236394.html . Nous avions eu malgré nous la confirmation et certitude que nous étions heureux ensemble et voilà qu’une  semaine sans voir Fr….. me paraissait une éternité ! Et je recommençais à douter. Et s’il était venu uniquement pour faire bonne figure aux yeux de Clet ? et si c’était uniquement pour soulager sa conscience ? J’en arrivais à me poser ces questions car je l’avais appelé un soir dans la semaine et il ne m’avait pas répondu. J’avais envoyé deux mini messages qu’il avait complètement ignorés. Par contre, le destin avait fait que j’eus à le contacter pour le boulot et là, il m’avait  rappelée. Donc ? ! recommençait il encore à fuir ses sentiments maintenant qu’il savait combien il se sentait bien avec moi ? J’avais reçu deux coups de fil anonymes cette semaine là et je savais que c’était lui. Ces coups de fil anonymes étaient apparus après notre séparation.… donc je lui manquais et il ne voulait pas l’avouer…. compliqué et fier le mec ! ou bien était il hypocrite lorsque nous étions allés à la Goélette ? ou bien était il dépassé par l’ampleur des événements qui se bousculaient ? Il était vrai que tout semblait se précipiter en ma faveur et cela bouleversait forcément. J’étais moi même très perturbée par cette reprise de contact et j’avais passé deux jours à déprimer grâve ! Je pense qu’il ressentait la même chose.

    Si j’en crois ce que la voyante avait annoncé, nous en étions au stade de l’imprévu. Il devait se passer un truc qui le ferait revenir alors que je ne m’y attendrais pas. La suite de ces prédictions était son déménagement, puis mon déménagement, et ensuite nous vivrions ensemble sous le même toit et qu’il y aurait là un homme. Tout collait ! Fr…… déménageait dans quinze jours et Allan était là bas dans la maison de Merlimont et travaillait pour Fr……. Donc, cet imprévu devait arriver sous peu.

    Je passais de l’espoir au désespoir, sans répit, sans provocation, c’était la vie qui nous entraînait…on ne pouvait pas résister. J’avais passé les vacances de Pâques avec mon fils C…… et ma petite fille R……. J’avais appelé Fr…… durant ces vacances et le courant passait bien malgré cette fichue attitude d’amitié que je détestais. Je n’étais pas l’amie de Fr…… et je ne l’envisageais même pas. J’étais plus que ça. C’est de l’amour qu’il y avait entre nous, qu’il le veuille ou non. Les choses étaient ainsi. Notre amour était solide et durable mais Fr……  craignait cette réalité et cela devenait casse bonbons. Pourquoi ne pouvait il pas être simple, clair , net et précis ? pourquoi avait t il toujours besoin de compliquer les choses ?

    Le mercredi où j’avais appelé Fr…… depuis Voiron dans l’isère http://www.grisy.net/article-14029385.html , le hasard ou le destin – je ne sais pas – voulu que Fr…… avait appelé Clet quelques minutes auparavant pour lui proposer de le rencontrer le lundi suivant. Clet, en permanence dans mon camp, lui avait dit que lundi, il avait prévu de déjeuner avec moi mais que s’il le voulait bien, on pouvait déjeuner tous les trois. Géniale réaction, Clet ! Fr……, à son habitude, imposa un temps de silence. Alors Clet s’énerva et lui dit « C’est oui, c’est non ou c’est merde ! mais décide toi, je n’ai pas de temps à perdre ».  Fr…… rétorqua aussitôt « OUI ». Clet m’avait immédiatement mise au courant et la joie autant que l’appréhension m’envahirent à nouveau. Je n’avais rien dit à Fr…….

    Lundi midi donc : j’arrivais devant le resto et téléphonais à  Clet car je n’aime pas faire le poireau, surtout dans un café ou resto. Je préfére que l’autre personne soit déjà là. Donc je m’enquiérais de savoir si Clet était arrivé. Il était là, ponctuel. Je lui demandais s’il était seul car j’avais un peu peur que Fr…… ait encore pris la tangeante bien que devant son père spirituel, il ne pouvait plus tricher ! Et au moment même où je posais cette question à Clet « tu es seul ? » , Fr…… pensait que j’appellais pour annuler ! il avait peur que je ne vienne pas. Clet m’avoua par la suite, qu’avant mon arrivée, Fr….. bouillait d’impatience et lui avait demandé plusieurs fois « Alors, elle vient ? ». Quelle impatience pour un mec qui ne voulait que de l’amitié !

    Me voici. Je pénétrais dans ce resto de quartier style bistrot avec télé, saluais les patrons que je connaissais bien depuis le temps, et atteignis enfin cette table où de loin, j’avais reconnu le pull marine rayé bleu et blanc de l’homme qui me faisait tant d’effet depuis le premier jour où je l’avais vu. Il se leva pour m’accueillir. Je pris bien soin de dire d’abord bonjour à Clet puis regardais Fr…... Il me fit la bise pratiquement sur les lèvres et Clet n’était pas dupe ! il épiait, il scrutait, il appréciait. Mission Clet : nous remettre ensemble. Il semblait satisfait. Fr…… me présenta d’office la chaise à son côté gauche, exactement, alors que j’étais en train de me demander si j’allais m’asseoir aux côtés de Clet. Durant tout le repas, Fr…… n’eut de cesse de me regarder « l’œil en coin », si discret que cela aurait pu redonner la vue à un aveugle et Clet jubilait. 

    Lorsque j’ai raconté quelques anecdotes vécues avec mon fils C……, Fr….. me regardait admirativement. Il aimait quand je narrais et cela se voyait gros comme une clef à molette dans une pupille. A 13h30, Fr…… nous a laissés pour retourner travailler. J’aurais pu partir en même temps que lui, mais j’avais encore un quart d’heure avant de reprendre mon poste et j’ai pris un malin plaisir à le laisser partir et à continuer l’instant avec Clet. J’avais bien vu que Fr….. se posait des questions…. D’autant plus que le hasard faisant bien les choses et prenant son rôle à cœur, j’avais eu un appel durant le repas et je n’avais pas répondu. Fr….. avait tenté de savoir qui c’était. J’avais simplement dit que c’était personnel. En fait , c’était mon dessinateur qui avait besoin de précisions quant à la couverture de mon recueil de poèmes « Instants choisis » http://www.grisy.net/categorie-561429.html que j’étais en train d’éditer. mais j’avais laissé planer le doute. C’est là qu’on voit la vacherie féminine ! mais après tout, Fr….. méritait bien une bonne leçon et cela me faisait rire de voir sa jalousie à ce mec qui soit disant ne m’aimait pas autant que je l’aimais.


     .......... 288 ème épisode ............. à suivre .......... dans la catégorie "biographie"


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  •  Vivre avec des ressources insuffisantes.
    Avoir des difficultés à subvenir à ses besoins.

    Si c'est Dieu qui gouverne, le Diable est dans l'opposition. Et il le montre bien, glissant des peaux de bananes autant que faire se peut dans les tentatives infructueuses du Créateur pour ramener l'Homme dans le droit chemin.
    Ce personnage existe depuis la nuit des temps dans l'imaginaire des humains, sous une forme ou une autre.
    Et les histoires où un homme fait appel au Diable pour l'aider à le sortir d'un très mauvais pas sont nombreuses.

    C'est pourquoi, suite au mystère qui entoure l'origine de cette expression, de nombreux lexicographes ont tenté de l'expliquer par l'image de l'homme qui, étant dans un grand besoin, passe un coup de fil au Diable pour le faire venir. Mais une fois ce dernier présent et les raisons de l'appel au secours expliquées, celui-ci décide de repartir sans accorder d'aide. Le pauvre homme, qui est pourtant prêt à vendre son âme tellement il est dans le besoin, cherche alors désespérement à le retenir par ce qui lui tombe sous la main, c'est-à-dire la queue.

    Mais Duneton, grâce aux travaux récents de Pierre Enckell (écrivain, journaliste et lexicographe contemporain), signale qu'il y a longtemps, cette expression avait un autre sens.
    Aux XVIe et XVIIe siècles, les textes où elle apparaît montrent qu'elle signifiait "travailler humblement pour gagner raisonnablement sa vie".
    Mais en aucun cas, il n'y a de notion de misère, de gêne, de difficulté à gagner sa vie.

    Par contre, dès 1690, Furetière donne notre signification actuelle à l'expression.

    Ces découvertes récentes ne font qu'ajouter un mystère au précédent :

    • On ne sait toujours pas ce qui a fait basculer le sens de l'expression, donc le lien qu'il peut y avoir entre la misère et le diable qu'on tire par la queue,
    • Mais on ne sait pas plus pourquoi, auparavant, un travail humble était comparé à un 'tirage' de queue du diable.

    Source : http://www.expressio.fr


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  • Clic sur l'image

     


    Confucius, dit-on, vit le jour le 21 septembre 551 avant notre ère, à Zou , non loin de la ville de Qufu , pays de Lu, actuelle province de Shandong. Son «Zi» était Zhòng Ní  et son nom personnel Kǒng Qiū . Sa mère, Zheng Zai est allée prier sur le mont Qiū  et pour cette raison, elle l'appela Qiū. 

      <<< Clic sur la photo pour en savoir plus sur Confucius



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  •   Le cadre plaisait bien à Fr….. http://www.grisy.net/article-29072041.html . La nourriture était délicieuse. Nous nous rappelions nos bons moments « on a de la gueule quand même ! ». C’est sûr qu’il était heureux car Sandy n’aimait pas manger et je suis certaine qu’elle n’avait pas cette originalité de l’emmener dans des lieux hors du commun. Pour accéder à cette auberge, il faut activer une sonnette sur la rive de l’oise et on vient nous chercher en mini yoth. Trois secondes de traversée à peine mais au son des flots, aux lumières de la nuit et bercés par une ambiance fluviale. L’auberge était là qui nous attendait. Il suffit d’enjamber l’espace qui va du bateau au ponton pour découvrir une vieille batisse de pierres ou chante en son cœur une cheminée rougeoyante. Nos quatre années de bonheur : c’était ça ! rien que du non conformisme et des bonnes choses. Nous avions traversé des périodes très éprouvantes mais ce qui en ressortait c’était cette complicité d’aimer les choses de la vie. La soirée se passa en douceur et volupté mais nous n’avions pas encore parlé de Sandy et comme Fr….. prenait encore la tangeante quant au problème qui était pourtant bien celui là, c’est moi qui ai provoqué. Et il m’annonça qu’il était toujours avec elle, qu’il ne la voyait que très peu : environ une fois par semaine et encore pas toujours. A ces paroles, le ciel me tomba sur les épaules. Tout s’écroulait à nouveau et pourtant je savais bien qu’il ne l’aimait pas tant que cela puisqu’ils ne se voyaient pas beaucoup. Je le connaissais l’oiseau ! avec moi, il vivait, il piafait, il sifflait comme un merle. Nous étions inséparables. Avec elle….. cela ne me paraissait pas sérieux. J’avais trop de chagrin pour retenir ma colère car c’était trop injuste qu’il continue à la voir mais je savais que Fr….. était un homme et qu’un homme ne reste pas seul. Alors je me calmais quand même tout en disant ce que j’avais à dire. Je lui parlais franchement, durement et lui faisais reconnaître tout le mal qu’il avait pu me faire…nous faire, à mes enfants et à moi même. Clet avait vraiment très bien travaillé. La prise de conscience était effective. Je poussais plus loin la provocation car je voulais savoir pourquoi il m’avait trompée alors qu’on était si heureux et voilà, il me la donna la réponse ! j’étais loin de penser à cela ! et je le croyais dur comme fer car cela confirmait les interminables soirées où je le consolais de ne pas voir ses filles. Sandy avait trois filles, à peu près du même âge que les siennes et il avait reconstitué un semblant de vie de famille avec des enfants qui couraient partout. IL avait comblé la peine que son divorce avait engendrée au niveau de la séparation d’avec ses enfants et c’était sûr qu’à mon âge, je ne pouvais pas lui apporter cette ambiance. Mes enfants sont adultes. C’était bien Sandy qui avait dragué Fr…….. et c’était écoeurant car elle savait qu’on était très proches, mais que Fr…… soit allé avec elle était encore plus inacceptable car il détruisait notre bonheur et je lui ai dit. Cependant, je comprenais qu’il ait pété un plomb avec son divorce. Il était réellement très malheureux. Je l’avais vu pleurer des heures entières et puis il y avait eu cette histoire avec son aînée qu’il ne voyait toujours pas, cette plainte qu’elle avait porté contre lui.

    Fr……. s’était égoistement vengé sur son entourage des souffrances causées par son divorce : il avait pris ma fille en grippe, rapport à son aînée, alors qu’elle est des plus charmantes et qu’elle ne méritait pas cela, il avait poussé Sandy à divorcer elle aussi, détruisant de ce fait un couple et récupérant des enfants puisque moi, je ne pouvais plus lui en faire. Sandy n’était qu’un moyen de dépasser les fracas du divorce qu’il n’avait pas supportés. Il ne l’aimait pas, il l’utilisait mais il ne le savait pas. Quant à moi….il m’aimait mais il fallait qu’il passe ce cap et j’en faisais les frais.

    Il était très heureux de m’annoncer qu’il concrétisait le projet d’entreprise que nous avions débuté ensemble. Il fut très surpris de voir comme j’étais bien au courant de l’évolution. Forcément, je mangeais avec Clet une fois par semaine et j’étais donc bien au fait. Ceci me comblait de satisfaction qu’il ait mené le projet à bien. Ce que nous avions commencé à construire ensemble voyait le jour. Il avait  perduré malgré notre éloignement. Il s’était d’ailleurs merveilleusement bien débrouillé et repartait à Merlimont le 1er mai, date d’effet de l’entreprise EDS (entretien, dépannages, services). Je me sentais joyeuse par rapport à cela et qu’il ne dise pas qu’il ne m’aimais pas ! ! ! !  C’était là, la preuve concrète de notre vie à deux….Cela ne pouvait qu’aller en ce sens. J’étais arrivée au bon moment dans sa vie.

    Bien sûr, Fr…… partait s’installer tout seul à Merlimont. Bien sûr, il y avait le risque que Sandy s’accroche, ce à quoi je ne croyais pas d’ailleurs. Bien sûr, nous ne ressortions pas encore ensemble bien qu’il ait passé deux jours avec moi.  Nous avions dormi dans le même lit, nous étions heureux de nous retrouver, nous sommes allés faire une pétanque comme au bon vieux temps et je lui ai mis sa « raclée », histoire de réclamer le bisou du perdant. Nous avions passé une soirée de mise au point et une journée de bonheur retrouvé mais pas d’attouchements…juste le bonheur d’être ensemble…c’est pas de l’amour ça ? ? Il n’y a pas besoin d’actes mais de complicité, de tendresse et d’envie car l’envie était là mais le moment était si beau qu’il ne fallait pas sombrer dans la fornication. C’était des sentiments à l’état pur et Fr……. se sentait si bien de retrouver notre vie commune qu’il avait annulé tous ses rendez vous pour rester avec moi un jour de plus. Il avait du affronter la rage de son ex car il devait aller chercher les petites et elle était grande gueule ouverte, prête à mordre. Il avait également affronté la colère de sa mère qui l’attendait à l’hôpital. La fougue retrouvée signifiait qu’elle allait mieux ! Il avait affronté la voisine de sa mère à Houilles http://fr.wikipedia.org/wiki/Houilles car il devait aller nourrir les chats…enfin bref, il m’avait prouvé qu’il se sentait bien avec moi.

    J’avais vu tout le travail qu’il avait fait et qu’il continuait à faire car il m’avait  emmenée à Houilles et sur la table du salon, il y avait là tous les dossiers qu’il prenait du plaisir à me montrer. Il avait passé tant de coups de fil pour des devis, des contacts, des achats. Il prenait vraiment l’entreprise à cœur et j’étais persuadée qu’il allait y arriver mais la période était difficile car tout était nouveau et pour l’instant il était confronté aux lourdeurs administratives et aux réticences des banques.

     

    Nous n’avions passé que deux jours ensemble mais je pourrais en faire un roman tant ces deux jours avaient été constructifs, passionnés et pationnels, emplis de joies et de peines. Des tonnes d’épreuves encore et surtout pour Fr……. car comme il n’était pas prévu qu’il dorme là ni qu’il reste le lendemain, il avait bien été obligé d’avoir des contacts avec ma fille I…….. Je craignais les réactions des deux côtés ! I…… ne fit pas la bise à Fr…….. Elle lui avait juste serré la main, les larmes dans les yeux et elle refusait de lui parler. Il avait pourtant fait d’énormes efforts de communication avec elle. Il nous avait acheté de la bonne viande, des gâteaux. Il avait préparé lui même la viande sur le grill avec de l’ail et tout son savoir faire. C’était délicieux et I…… adorait ça mais elle restait froide et ne répondait pas aux questions de Fr……. Ce genre de repas, Fr…… nous les concoctait souvent avant et c’était la fête. Dure épreuve pour lui que cette attitude de ma fille !

     

    Le samedi, je me suis levée tôt car je travaillais. J’avais donc laissé Fr…… et I…… seuls à la maison. Fr…… me téléphona vers 10h45 alors qu’il était rentré chez lui pour aller chercher sa mère qui sortait de l’hôpital et ses filles qu’il aurait dû aller chercher la veille. Il était très marqué que ma fille soit si reprochante. Je lui ai expliqué qu’il l’avait cherché ! qu’I…… ne s’en fichait pas sinon elle aurait été indifférente. Qu’elle lui montrait simplement qu’il l’avait fait souffrir et qu’elle avait encore mal. Je lui ai expliqué que c’était lui le fautif et que la réaction d’I…… était normale puisqu’elle avait des liens affectifs avec lui et qu’elle n’avait  pas digéré qu’il blesse sa mère, c’est à dire moi. Il avait reconnu que c’était logique et de bonne guerre mais il était très contrarié et ne savais plus comment réparer.

     

    J’en étais là : je ne savais pas quand j’allais le revoir. Je pensais que nous avions fait un grand pas mais qu’il fallait que nous ressortions ensemble et qu’enfin nous la fassions à deux cette vie, même si dans un premier temps, il était à Merlimont et moi ici. Je ne voulais plus qu’il me cache et je le lui ai dit.

     

    Ses filles m’avaient réclamée et il leur avait dit que depuis Sandy, nous étions fâchés. Il avait là aussi un problème car maintenant comment leur annoncer que l’on se revoyait puisqu’elles étaient copines avec les filles de Sandy et qu’elles étaient au courant de leur relation ?

    .......... 287 ème épisode ............. à suivre .......... dans la catégorie "biographie"

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