•                                                                                                                                                                         
      Aujourd'hui, j'ai approché des bisons  

    Nous étions tous là, une cinquantaine, parqués dans une cariole attelée à un tracteur, piloté par deux cow boys ! Des vrais ...... colts à la ceinture et éperons.
    Il y avait tout un troupeau, à peine à cinq mètres de nous et nous les avons observés durant une bonne demi heure. Ils étaient doux comme des agneaux, malgré leur oeil en coin et leur sourire caché .... à faire frémir ! De nombreux nouveaux nés tétaient leurs mères. D'autres s'en furent allés boire un coup à la gamelle, nous ignorant.
    La joyeuse farandole fini sa course entre tipis et buvette, face aux stands indiens où juchaient quelques outils d'époque en os .... des petites cuillers, des couteaux .....
      La soirée se laissa clore dans des danses country, après un repas digne de ce nom.                                                                                                                      
     
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  • Je suis toujours en vadrouille, mais la connexion devient possible.

    Amitiés limousines !






    Apparemment, vous avez apprécié la peinture de ma fille

    ..... Elles est bien ma fille ..... mon fils aussi..... 

    Mais c'est un peu normal ...... C'est moi qui les ai faits ..... !

     

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  •                                                  
                                                       

                     


                             Blog en vacances

    Je ne sais pas si je pourrais me connecter !


                              ..... à suivre ................ et un grand merci à tous mes visiteurs et visiteuses.........



    Tableau réalisé par ma fille Isabelle

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  • enfant_arme.jpg

    On leur a tout promis sans jamais rien donner,

    Montré les différences qu’il fallait effacer,

    Et posé dans leurs mains les aciers meurtriers

    Qui ne laissent comme choix, que celui d’essayer

     

    Il n’y a plus de sourire dans leurs yeux desséchés,

    Pas plus qu’il n’y a de joie dans leurs rires étouffés.

    Ils n’ont plus l’innocence, privilège de leur âge,

    Juste un peu d’arrogance, à défaut de courage.

     

    Où est leur avenir ainsi que leur passé,

    S’il ne reste à la vie que des rêves oubliés,

    Que des visages fermés et des regards perdus

    Comme ceux qui ont souffert, comme ceux qui ont trop vu.

     

    Où est mon avenir ainsi que mon passé,

    S’il ne naît pas en moi la honte d’avoir été

    Le témoin impuissant des culasses que l’on arme,

    Le témoin du destin de ces enfants en armes.

     

     

    Dabat.D.1997


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  • symbole.jpgNous nous voyions plus régulièrement et dans beaucoup de joies. Nos casse croutes étaient plus tendres qu’avant mais je n’étais pas dupe. Je trouvais que Fr…. avait la mémoire courte. Nous sortions du chagrin http://www.grisy.net/article-21649809.html et passions une phase où chacun voulait préserver le bonheur. Je savais bien et je sentais que les choses redevenaient belles comme un camion tout neuf et j’avais peur car je n’avais plus confiance. Je n’arrivais plus à le croire, il m’avait trop choquée. La blessure n’était pas entièrement refermée….j’étais sur le qui vive !

    Nous avions choisi ensemble un cabaret…ensemble…ou presque ! Nous avions regardé quels choix étaient possibles et je faisais les démarches, à sa demande. Il me laissait décider car « nous avons les mêmes goûts » disait il, donc mon choix serait le nôtre. Voilà : j’étais prête. Je lui annonçais qu’il n’avait plus qu’à arrêter la date puisqu’il fallait réserver à l’avance (une semaine si on y allait en semaine et 2 à 3 semaines si on y allait le week end), lui assurant que 2 à 3 semaines ce n’était pas un problème puisqu’il était déraisonnable de penser qu’on puisse y aller le week end. « Pourquoi pas ? Si ma femme part quelques jours à Pâques ». Et vlan ! Tout s’écroulait à nouveau ! (Pâques : c’était dans 5 semaines) « Mais ce sera trop tard » rajouta t il « c’est la semaine prochaine ». « Oui, sinon ce ne sera plus des retrouvailles…pas dans 6 mois ! » rétorquais je. Il était visiblement très embêté. Il avait encore promis quelque chose qu’il ne pouvait pas tenir et dans ma tête, il se passait quoi à votre avis ? Déception, déception, déception. Je n’y croyais plus du tout à cette soirée. Déception car il me devait 2 nuits et s ‘il ne compensait pas, je resterais sur mon chagrin. Déception car il continuait à ne pas vouloir froisser sa femme (je pris à nouveau conscience qu’il n’avait absolument pas l’intention d’évoluer avec moi). Déception car c’était toujours la même rengaine ! Il semblait avoir oublié un peu trop vite la peine qu’il m’avait faite. Alors que faire ? Lui proposer quelque chose de plus réalisable dans un court délai, à savoir dans la plage des heures de travail ? Je n’aurais pas été satisfaite. Cette fête devait être un symbole de notre amour et par conséquent représenter une chose inhabituelle. J’en avais assez de ne pas avoir droit à une soirée comme tout le monde. J’en avais assez de me cacher. C’eût été manger des merles faute de grives et je n’avais pas envie de me priver.

    J’allais le laisser mariner encore, le pousser à assumer notre adultère. Il me devait un effort particulier sur ce coup là. Et si vraiment il n’y arrivait pas (ce que j’aurais admis malgré tout), nous réserverions le cabaret pour une autre occasion et je me contenterais du peu qu’il serait en mesure de m’apporter….après tout, c’est l’intention qui compte mais je voulais quand même savoir jusqu’où il pouvait aller…quelles étaient ses limites par rapport à moi. Je sais : je jouais encore avec le feu mais j’avais besoin de me situer. Toutes ses larmes mal cachées ne m’avaient pas apporté la réponse à mes questions. Elles m’avaient émue mais n’avaient pas réglé le problème….la douleur était encore lattante malgré nos airs de ne pas en avoir l’air !

    Je lui avais dit que je n’y croyais pas à notre soirée cabaret. Il me jura que cela allait se faire très bientôt. Nous avions fait beaucoup de projets pour la semaine à venir : barbecue et resto avec son pote Cla….. qui, apparemment me réclamait. Je pressentais que Fr….. avait remis en route ses prévisions de travailler pour un autre pote, également patron (le fameux changement de boulot qui devait aboutir au divorce s’il le faisait http://www.grisy.net/article-17327785.html …selon ses propres paroles). Je pressentais aussi que son pote Cla….. allait me proposer quelque chose…une association avec Fr….. peut être ? Cela collait avec ce que les cartes annonçaient depuis deux ans déjà. Fr….. cherchait tous les moyens de se mettre à son compte et avait de nombreuses propositions fort alléchantes, qui, bien sûr, déplaisaient à sa femme et pour lesquelles j’étais tout à fait partante. J’avais déjà été ma propre patronne dans le passé http://www.grisy.net/article-6178065.html , sur les marchés et recommencer me tentait bien, maintenant que j’avais acquis une superbe expérience des pièges à éviter dans ce domaine.

    Rocky le déménageur me prêta le livre de Françoise Hardy http://fr.encarta.msn.com/encnet/refpages/RefArticle.aspx?refid=761592466 , chanteuse contemporaine qui s’impliqua de longues années dans l’art de l’astrologie. Je fus fascinée par la vérité du contenu et m’amusais à faire une petite synthèse de ce qui nous concernait, Fr…… et moi.

    J’y avais retrouvé mon Fr….. si exactement que je me demandais comment elle pouvait le connaître mieux que moi ! Je croyais avoir décroché la perle rare….tous les verseaux sont comme lui et tous les scorpions sont comme moi ! Comment est ce possible ? En fait, nous sommes tous uniques en notre genre. Tout dépend de notre partenaire et de la façon dont nous le vivons. Certains ne prennent pas le temps de se connaître ou n’approfondissent pas la chose. Moi, je voulais chiner…….…jusque dans ses tripes.

    S’interesser à son prochain, c’est d’abord l’aimer. Chercher à le comprendre, c’est vouloir le protéger. Arriver à comprendre et à accepter, c’est faire perdurer un bonheur qui sans cet effort ne peut voir le jour.

    Merci Françoise…ton analyse était hardie !


    ......239ème épisode..........à suivre........dans la série Biographie..............

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