• Les autres ou plutôt les ostrogots

    000000000000000Beckets_Death.gifDevant cette instabilité constante http://www.grisy.net/article-24080273.html , je cherchais encore et toujours le pourquoi du comment. Je me fis faire mon thème astral par une astrologue confirmée. Elle avait fait ses études en Amérique. Cette séance m’avait beaucoup instruite. Elle ne m’a pas donné la solution à mon problème mais m’a fait réfléchir en m’apportant quelques réponses à mes questions. Le dialogue avec l’extérieur est primordial pour l’équilibre. J’avais remué beaucoup de choses dans ma tête et malgré la déprime, le voile s’était levé. J’avais trouvé le pourquoi du comment.
    Je commençais à y voir plus clair. Mon amour était un verseau et en bon représentant de son signe, il lui fallait en permanence un souffre douleurs. Qui prendre de mieux placée que la personne qu’on aime ? Qui aime bien châtie bien, dit le proverbe. De la même manière que sa mère faisait un transfert sur lui du manque occasionné par le décès de son père (elle le considérait comme son homme et non pas comme son fils), oui de la même façon, il faisait un transfert sur moi de la souffrance qu’il endurait de part son divorce. Il lui fallait un coupable et ce n’était certainement pas lui ! Il rejettait sur moi tous ses malheurs et par conséquent, me haïssait quelque part.
    J’avais la conscience tranquille. Je n’avais rien brisé dans son couple. Ils étaient déjà séparés lorsque je l’ai rencontré
    http://www.grisy.net/article-14192897.html  et son mariage était un échec bien avant même qu’ils en prennent la décision. Elle l’avait toujours fait souffrir. Les verseaux sont des éternelles victimes. Ils n’acceptent pas d’être défectueux. Le bouc émissaire : c’était donc ma pomme (vous avez déjà vu une pomme avec un bouc ? cela choque !…et bien, ce que nous vivions en ce temps là me choquait.).

    Je n’avais pas l’intention de le laisser briser notre bonheur sous prétexte qu’il refusait de voir les choses en face. Je n’ai pas une âme de victime mais plutôt de battante. J’avais décidé de ne plus jouer son jeu lorsqu’il me reparlerait de ne pas faire de projets avec moi. Je lui expliquerais simplement où il en était et ferais ma vie de mon côté en attendant qu’il « retombe sur ses pattes » selon sa propre expression. Oui, j’allais m‘amuser, penser un peu à moi, ne pas le tromper forcément mais côtoyer du monde et occuper intelligemment cette période d’égarement. Il avait besoin de mûrir….j’attendrais qu’il soit bon à croquer. Il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs, dit encore le proverbe…la moisson n’en sera que plus fructueuse. Alors, pour l’instant il me donnait plus d’amitié que d’amour : et bien j’allais prendre ce qu’il me donnait sans me plaindre mais j’allais cesser d’être généreuse outre mesure. Tant d’efforts n’étaient pas récompensés à leur juste valeur, tout bêtement parce que nous n’évoluions pas à la même vitesse. J’avais trop d’avance, j’allais mettre un frein.

    Je ne sais si cela était dû à mon changement d’attitude mais notre relation  redevenait géniale. Il était à nouveau attentionné. Nous nous voyions pratiquement tous les jours et nos liens étaient solidement noués. Fr….. était une vrai montagne russe ! Il montait très haut et redescendait très bas sans crier gare et j’ondulais avec ce mouvement, me laissant entraîner par un tourbillon qui me dépassait. Je ne perdais pas le nord pour autant et restais méfiante car avec lui, tout pouvait arriver à chaque instant !

    Sa conciliation du 11 mars fut à nouveau repoussée car sa fille aînée avait prit un avocat. Elle ne voulait plus voir son père. Fr…… était très malheureux et cette nouvelle étape s'annonçait comme une terrible épreuve où il faudrait encore que je l’épaule de mon mieux et en douceur. Nous avions en plus de sérieux problèmes pécuniers et puis les grandes vacances approchaient et cela signifiait à nouveau un éloignement car il serait avec les 2 petites. Tant qu’il me cachait, je ne pouvais que vivre très mal cette situation. Et puis il y avait les autres………………..

     

    les autres ou plutôt les ostrogots

    (Curiosité malsaine, bavardages et médisances)

    Les autres : cet entourage direct

    Qui vous met un pain dans la gueule

    Inconsciemment et c’est d’autant plus bête.

     

    Prenez une feuille blanche sur laquelle il n’y a qu’un tout petit point noir,

    Vous ne verrez que la tâche

    Malgré la blancheur dominante…Ô désespoir !

     

    A notre dernier retour de congés,

    Des amis bien intentionnés

    S’étaient empressés de faire remarquer à mon amour

    Que nos dates coïncidaient, de l’aller au retour.

     

    Soucieux de toujours me planquer

    Tant qu’il n’était pas divorcé,

    Il quémandait qu’aux prochaines vacances

    Je décale mes jours… en toute obligeance.

     

    Les autres me faisaient du mal

    Car de sacrifices encore et toujours…A force de ragots,

    Je me sentais coupable d’aimer, et mes joies étaient bancales.

    ...257ème épisode..........à suivre........dans la série Biographie.............. 

    « Ca vaut le coup d'oeil !RUE »

  • Commentaires

    1
    Vendredi 7 Novembre 2008 à 12:00
    Ouf ! tu es sauvée de ces tourments ! tu vas pouvoir t'aérer les méninges, c'est que tu en as bien besoin et si c'est grâce à l'astrologue et bien c'est une bonne chose !J'aime beaucoup la 1ère strophe de ton poème si criante de vérité.Bonne soirée bisous, je poursuis...
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