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RUE
Sous les traits d’un blouson ou d’une paire de tiags,
L’amitié se rencontre au hasard d’une impasse.
Que tu vives dans la rue ou dans les terrains vagues,
Ta rancœur vaut bien plus que le prix d’une passe.
Comme tous ceux qui n’ont eu que la zone comme vie,
Comme tous ceux qui, amers ,ont vécu sous la pluie,
J’ai laissé dans la rue l’odeur de mon enfance,
Mais ce n’est pas chez moi que vit l’indifférence.
Dabat.D.1987
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Commentaires
1MichelotteSamedi 1er Novembre 2008 à 12:00bonsoir Arielle :quel beau homme a toutes ces personnes qui n'ont pas de toi et parfois ne mange pas tout les jours , sais une honte de voir ça dans notre beau pays..;et les grands ne bouge pas eux qui on tout pour ne pas crever de froid..aucune pitier pour les miséreux..sa me fou les boules..calin de MichelotteRépondre
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