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    Complètement stupide.

    [ ORIGINE ]
    Pourquoi un balai plutôt qu'un rateau, une épuisette ou un presse-citron ?

    Il faut probablement remonter à l'expression "con comme une bite" pour arriver, par des chemins à peine tortueux, jusqu'au balai.
    Dans cette expression, 'con' a un double sens. Il y est en effet ajouté une opposition volontaire entre le 'con', sexe de la femme (appelé ainsi au moins depuis le XVe siècle), et la 'bite', sexe de l'homme, dont on peut confirmer qu'il ne brille pas par son intelligence, prêt qu'il est à s'amarrer à n'importe quel orifice un tant soit peu accueillant sans réfléchir aux conséquences éventuelles (adultère, paternité, maladie sexuellement transmissible...).

    Or, en argot, la 'bite' se dit aussi le 'manche'.
    Les disciples d'Onan  "s'astiquent le manche" et un type stupide est aussi "con comme un manche".

    Et que trouve-t-on souvent au bout d'un manche ?
    C'est ainsi que, par associations d'idées successives, un "con comme une bite" serait devenu con comme un balai sans que, malheureusement pour lui, cela change beaucoup son Q.I. ou, du moins, la perception que les autres en ont.


    On dit aussi "con comme la lune" ou "con comme une valise sans poignée", entre autres.

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    Source : http://www.expressio.fr


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    Je ne crains ni vos rires,

    Ni vos regards baissés,

    Vous qui savez offrir

    Que lorsque vient la nuit.

     

    Je regarde plus loin

    Que l’horizon voilé,

    Ne voyant de vos groins

    Que vos sourires masqués.

     

    Je suis votre conscience

    Que vous ne voulez voir.

    Vous êtes l’indifférence,

    Où je ne saurais boire.

     

    J’ai trop tendu la main

    Pour espérer de vous

    Quand vous faisiez festin,

    L’espoir de mon pain mou.

     

    Je suis dans le miroir

    De vos âmes perdues,

    Vous qui ne voulez voir

    Que le côté repu.

     

    Alors j’écris ma faim

    Sur un bout de carton,

    Et dans le froid matin,

    C’est moi qui vous fais don.

     

    Et si Dieu de sa main

    A montré le pardon,

    Vous qui passez chemin

    Vous lui donnez raison.

     

     

    Dabat.D.1996


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  • Paroles de la video en rapport avec l'épisode !


    Du pétillant ? Je ne croyais pas si bien dire !
    http://www.grisy.net/article-22338524.html Je suis effectivement arrivée à Merlimont mardi après midi et mon amour a tenu sa promesse. Il m’a appelée en début de soirée et semblait heureux que je sois là. Comme nous l’avions convenu, je me suis installée à Stella http://www.stella-plage.fr/fr/index.php?file=municipalite&name=Municipalite , station balnéaire jouxtant Merlimont car Fr…. étant en famille, il valait mieux que je ne sois pas trop près. J’aime bien Stella. C’est beaucoup plus vaste que Merlimont et beaucoup plus touristique aussi. Située entre Le Touquet et Berck plage, cette station est bondée de villas richissimes…presque des manoirs ! Il y a du pognon à foison là bas. Mon rêve était d’y tenir un hôtel. Juste l’hôtellerie : pas la restauration car il ne faut pas être esclave de son travail. Ceci nous aurait permis de vivre au bord de mer et Fr….. aurait pu faire du bricolage « au black ». C’eût été la solution idéale pour réaliser enfin nos désirs. Nous aspirions tous les deux à vivre sur la côte opale. Il manquait juste un petit détail……où trouver les fonds pour s ‘installer ? Et……Fr….. était encore marié ! ! Mais j’y pensais à cette ouverture sur l’avenir…avec ou sans Fr…….

    Depuis toute petite, j’ai toujours eu dans l’idée d’avoir une maison en bord de mer …….. Avec un rocher ! Pourquoi le rocher ? Mystère et boule de gomme.

    Revenons au pétillant : ayant très peu d’espoir de pouvoir rencontrer mon amour là bas durant cette semaine idylique, j’ai eu l’idée subite de mettre une bouteille de champagne dans ma valise, me disant que si je le voyais, ce serait merveilleux et il faudrait fêter cela.

    Le mercredi matin, il arriva à se dégager un peu et le bonheur m’envahit lorsque je l’aperçus sur le boulevard qui mène à la mer. Je montais dans son Espace de marque Renault http://www.renault.fr/gamme-renault/vehicules-particuliers/espace/accueil-espace/ et me sentais tellement heureuse que je ne pouvais pas cacher ce généreux sourire que je lui affichais. Fr…. n’était pas rasé et je trouvais qu’il était bien triste. Il prétexta qu ‘en vacances, il ne se rasait pas……..Non : je savais qu’il n’allait pas très bien.  Ma joie sembla le remettre sur les rails et il me sourit. « Qu’est ce qu’on fait ? On va boire un coup ? » « J’ai apporté du champagne. Si tu veux on va le boire à l’hôtel ». Sitôt dit…sitôt fait. J’emmène mon amour dans ma chambre et nous faisons péter le bouchon. J’avais mis un ensemble bleu électrique récemment acheté et mon amour l’aima beaucoup. J’étais si contente ! Tout roulait comme sur des roulettes. Nous avons passé une demi journée ensemble, entre bulles et tendresse. Mon amour avait besoin de réconfort et nous nous sommes ébattus sur ce grand lit, juste sous la télé et face à la fenêtre grande ouverte, faisant entrer toute la clarté dans nos cœurs. Je ne m’attendais pas à ce qu’il m’accorde autant de temps et j’ai apprécié car il avait vraiment fait des efforts.

    Il était très prisonnier avec sa femme et comme elle ne s’occupait guère des enfants (ils en avaient 5 pendant ces vacances : les 3 leurs + 2 filleules), c’est lui qui s’y collait. Ainsi elle était sûre de le piéger. S’il n’était pas avec elle, il était avec les enfants et forcément restait sage. Mais c’était mal le connaître ! il avait  plus d’un tour dans son sac puisque nous nous sommes vus quand même.

    Pour le soir, il me recommanda le Pub près de la plage et me dit qu’il allait essayer de m’y retrouver. Je n’y croyais pas trop et décidais que j’irais, même s’il ne venait pas. A 22h…pas de nouvelles. Je compris qu’il n’était pas libre et sortis donc toute seule. J’ai passé une soirée d’enfer ! C’est vrai qu’il est bien ce Pub ! L’alcool coulait à flots sur les vastes tables de bois. Le bar était animé, la musique y tenait la 1ère place. L’ambiance était jeune et j’étais là, tout à fait dans mon élément. Mes 47 ans ne dénotaient pas, comme à l’habitude. Je n’ai jamais paru mon âge et me retrouvais toujours entourée de jeunes et j’aimais ça. J’ai eu la chance que ce soir là, un anniversaire était fêté. Je m’intégrais très bien et lorsque je décidais de rentrer à l’hôtel vers 1h du mat, le patron me fit jurer de revenir et cette fois, de m’installer directement au bar pour que je sois à part entière dans leur groupe. Promis…juré…le prochain coup, je danse avec eux.

    Le lendemain matin, Fr….. vint me rejoindre et nous sommes allés boire un verre face à la mer. J’étais angoissée car je rentrais à Paris le soir même et sentais que je ne reverrais pas Fr…… avant mon départ. Pourtant, il avait tout goupillé pour que nous puissions passer encore un moment ensemble. J’ai toujours ces intuitions et lorsque l’angoisse s ‘empare de moi sans que je sache pourquoi et sans pouvoir la contrôler, c’est à coup sûr, que cela ne sent pas bon. Fr….. ne percevait pas bien mes intuitions et ne comprenait pas toujours quand les larmes me montaient aux yeux. « Ne te mets pas dans des états pareils ! ». Je n’y peux rien : c’est comme çà. Je sens les choses à l’avance. »

    M…..ouais………..sauf que j’avais de plus en plus de mal à contenir mes larmes en présence de Fr….. Cela me mettait en rage car je ne voulais pas qu’il me voie  triste mais je n’y arrivais plus. J’étais trop perturbée dans ma tête. Je lui ai demandé de me laisser au bout de la ville pour marcher un peu dans la lande et c’est les yeux brillants que je suis descendue de l’Espace. « Je t’appelle vers 15h ». Je savais bien que non et je suis partie. Il faisait très froid mais le soleil perçait. Je me suis installée sur les hauteurs pour déjeuner puis je suis retournée à la mer après avoir remis mes bagages dans le coffre de la voiture. Et enfin, j’eus l’idée d’aller faire le plein d’essence afin d’être entièrement prête au départ. En revenant de la station d’essence, ma route passa devant la vieille église de Merlimont. Je décidais d’aller dire bonjour à Jésus. J’étais bien en contact avec l’au delà lorsque mon portable sonna. L’église n’était certes pas habituée à ce genre de louanges ! Le chant de mon téléphone emplissait la neffe et je me sentis gênée. Je m’enfuis donc sur le perron pour décrocher et fis là ma conversation. C’était un coup de fil pour le travail. Heureusement que je n’étais pas sortie entièrement de l’église ! (le perron est abrité par un porche) car au même instant, je vis passer l’Espace. Mon amour emmenait les enfants à Berck. C’était une chance ou peut être la providence qui provoqua ce hasard car je pus apercevoir mon amour avant de prendre la route. Lui ne me vit pas. Il m’a suffit de calculer une demi heure après son passage pour comprendre qu’il ne viendrait pas car c’était le temps qu’il lui fallait pour faire l’aller retour. J’eus l’explication le soir lorsqu’il m’appela alors que j’étais déjà rentrée à Paris. Sa femme n’avait pas voulu s’occuper des enfants donc il n’avait pas pu se libérer et j’eus ainsi la preuve de sa sincérité puisque je l’avais vu passer avec les enfants.

    Maintenant, je devais attendre le lundi pour le revoir. C’était long ! Il me manquait tellement. Mais j’étais satisfaite de mon petit voyage car  c’était la 1ère fois que je le suivais au cours de ses vacances en famille et il s’était débrouillé pour m’accorder ce qu’il pouvait. Je prenais cela comme une preuve d’amour. Et puis s’appesantir sur le passé, c’est rater le présent. Alors j’essayais de garder le moral pour ne pas gâcher ce week end.

    Je le sentais si proche ! J’avais l’impression qu’il allait rentrer plus tôt que prévu. Mon corps frissonnait tant nos pensées se rejoignaient…..Je n’ai pas eu à attendre lundi. Samedi soir : 22h, il m’appella. 22h30 : il arrivait.

    En le voyant, je compris à quel point il avait été malheureux avec sa femme pendant ces vacances. A peine rentrés, Madame avait reçu un coup de fil et était sortie. Dégoûté, écoeuré, il avait  emmené les enfants chez sa mère et était venu trouver quelques réconforts auprès de mon âme. Depuis quelques temps, elle lui faisait croire qu’elle avait un amant et il y croyait, à juste titre je pensais car j’avais vu cela dans les cartes. Mais elle lui avait mené la vie dure à Merlimont. Elle le privait de toute liberté. Il se sentait emprisonné. Je la trouvais assez machiavélique ! Elle était capable de tout. Je ne savais pas si elle voulait le garder ou le jeter en lui collant tous les torts. J’avais le sentiment qu’elle calculait son coup depuis longtemps déjà et que leur histoire allait tourner au drame. Quoiqu’il en était, Fr…. en supportait beaucoup trop et j’avais peur pour lui comme pour nous.

    Toute la semaine durant, mon amour fut très près de moi et j’ai bien cru cette fois qu’il allait la quitter mais nennie…que dalle ! Il tomba malade : un ulcère à l’estomac et tout a été chamboulé. Puis madame se fit refaire la poitrine pour me faire concurrence. Elle était entrée en clinique le lundi et je ne revis mon amour que ce jeudi midi. Je la trouvais dangereuse. Elle poussait le vice jusqu’à l’opération ! Pour le provoquer ? Pour le séduire ? Pour nous emmerder tout simplement ?…peut être qu’elle était stupide à ce point. En tous cas, je la trouvais vulgaire dans sa mentalité.
    En tout état de causes, sa méthode marchait. J’étais de plus en plus perturbée par les crasses qu’elle nous faisait et le coup de se faire gonfler jusqu’au 90…..je l’encaissais mal. Je me disais qu’à la longue, elle risquait bien d’aboutir à ses fins, qu’elle allait arriver à m ‘éliminer du circuit. Je confiais mes craintes à Fr…… qui semblait ne pas bien comprendre. Eh oui ! J’avais peur qu’avec sa grosse poitrine, il re-craque pour elle et que mon 100 de tour ne se transforme qu’en mauvais sang ! Il me disait que non. Il me disait que ma poitrine était toujours plus grosse que la sienne. Il me disait aussi que les choses dans son couple ne pouvaient qu’empirer. Il me disait qu’ils continuaient à se disputer chaque jour que Dieu faisait. Je la craignais quand même : elle était si perverse ! Elle était à double face « une jolie fleur dans une peau de vache » comme disait Brassens
    http://www.paroles.net/chanson/23423.1 .

    J’étais cependant sûre d’une chose : elle n’aurait jamais mes qualités de cœur et d’esprit… Elle était bien trop superficielle...à cela : elle n’y pouvait rien changer et même si elle parvenait à nous séparer, Fr…… ne pourrait jamais oublier tout le bien que je lui faisais. Elle me chasserait peut être physiquement mais je ne sortirais jamais de la tête et du cœur de son mari. 

     
    ...245ème épisode..........à suivre........dans la série Biographie.............. 

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  • Les poissons meurent

    Sans faire d’histoire

    Un soir

    Ou un matin

    Ils se fichent bien

    Des couchers de soleils

    À damner les saints

    Ils sont là pour frayer

    Ils frayent

    Rien ne les effraie

    A part les requins

    Les poissons meurent

    Sans faire d’histoire

    Un jour ou l’autre

    Ils croquent ce qui a lieu

    D’être croqué

    Seront croqués par d’autres

    Des gros, de plus rusés  

    Pas de répit pour les merlans

    Même en bans

    Personne pour chanter

    Leurs louanges,

    Ni anges

    Ni démons

    Pas de vie éternelle

    Ni de ritournelle

    A quoi bon !

    Pas d’enterrement

    Pour les merlans

    Juste le chant des sirènes

    Et l’océan tout entier

    Pour mausolée !

     

    Brigitte Lécuyer


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  • Macache bono ! Rien du tout ! Que dalle ...........

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    Macache est un adverbe employé souvent en interjection !

    Macache est un mot qui vient d'algérie, de l'arabe makans : il n'y a rien.


    " Ca lui a donné un coup de pompe et puis une migraine terrible, alors forcément ça ne met pas en train pour, ça fait que pour ce qui est du jeu de la bête à deux dos, macache et ceinture..."

    Albert Cohen " Belle du Seigneur"

    belleseigneur.jpg

    Belle du Seigneur est unanimement considéré comme le chef-d'œuvre de l'écrivain, et a été couronné par le Grand prix du roman de l'Académie française.


    autre exemple en argot : " comme fallait reprises les chaussettes... Macach ! j'ai quitté c'bédouin-là."

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