• scorpion.jpgSignification du mois de Novembre :
    Vendémiaire ou mois des vendanges dans le calendrier républicain.

    Origine :
    Novembre a gardé la trace du nom qu'il portait dans l'ancienne armée romaine (novembris), de Novem, (neuf) ab imbre. Pourtant il est passé de la neuvième à la onzième place.
    Brumes et brouillards de la première quinzaine y font vite place, après le fugace été de la Saint-Martin, à un refroidissement progressif accompagné de pluies interminables, de vent fort et de neige dans la seconde quinzaine. Les jours vont diminuer d'une heure dix minutes dans le mois: le premier dure neuf heures quarante-six minutes, les dernier n'est plus que de huit heures trente-deux minutes.

    Les personnes nées ce mois de Novembre ont les symboles suivants :
    L'ange : Adnachiel
    Le démon : Hécate
    L'arbre : le palmier
    La fleur : le houx et le chrysanthème
    L'animal : la biche
    L'oiseau : la corneille
    Le bijou : le topaze

    Planète :ourage, enthousiasme, guerre
    Propriétés :
    Force, passion, orgueil, sensualité
    Corps : Oreille gauche, organes sexuels, reins, veines
    Points faibles : Système digestif, fonctions génitales, système lymphatique, fragilité des pieds
    .
    Mars, Pluton
    Planète en exil : Vénus
    Element : Eau
    Métaux et pierres : Fer, aimant
    Influence planète :C

    Votre pierre :
    Emeraude: elle représente croyance, espoir et immortalité. Lorsque vous la porterez, elle vous insufflera de l'énergie positive.
    Vos qualités :
    Intuitif, exigeant, cultivé, élégant, doux, paisible, raffiné, spirituel, attentionné
    Vos défauts :
    Méfiant, prétentieux, faible, envieux, lunatique, inconstant, rancunier
    Votre caractère : Dynamisme, réflexion, intuition exceptionnelle, goût pour les voyages et les visages nouveaux. Franchise et droiture.
    Votre numéro : 50 

    Signe chinois........ pour les femmes !
    Votre élément est l'EAU, vous êtes un Serpent de l'EAU
    Vous obéissez au principe du Yin.
    Vous avez du charme, et maîtrisez l'art d'hypnotiser les hommes. Vous aimez vous montrer désinvolte, et donnez l'impression que vous êtes attirée par le confort. Mais vous êtes tout sauf paresseuse. Votre bon sens n'est jamais au repos. Vous ne restez pas longtemps seule. Vous adressez d'énormes exigences à votre partenaire. Si possible, vous épousez un homme riche ou vous assurez le minimum pour votre existence. Vous aimez les garde-robes élégantes, et les bijoux choisis, que vous considérez aussi comme un placement. Vous êtes une bonne femme d'intérieur, et une mère sévère. Vous trouvez tout à fait normal de dominer votre famille. De temps à autre, vous avez besoin de repos, pour pouvoir reprendre le sceptre face à ceux que vous aimez après vous être refait une santé. Vous êtes également une hôtesse parfaite. Vous ne vous posez pas de questions à propos de l'égalité des sexes. Jusque là, vous n'avez jamais eu à vous plaindre de l'esprit chevaleresque des hommes. Amour: Vous êtes très sensuelle et très passionnée en amour. Il est impossible aux hommes de résister à vos trésors de séduction. L'homme qui vous plaît, vous le considérez comme étant votre propriété. Vous êtes également très jalouse et incapable de pardonner l'infidélité. Malgré tout, vous avez vous-même un penchant pour les aventures, et exigez de votre partenaire une certaine largesse d'esprit dans ce domaine. 
     


                                         Dicton quotidien de saison

    Pluie abondante en Automne annonce Printemps sec.


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    Dimanche dernier, je me trouvais sur la route entre Saulieu http://www.saulieu.fr/ et Chalons/saône http://www.chalon-sur-saone.net/. Je connais cet itinéraire par coeur et pourrais le faire les yeux fermés mais ce serait contraire au code de la route ! J'ai maintes fois été surprise par les paysages et ai écrit quelques poèmes à ce sujet (notamment un peu plus loin, vers Grenoble, vu que ma destination finale est Voiron, chez mon fils) http://www.grisy.net/article-4525952.html
    Je roulais pépère, poussant ma vieille ford fiesta à son maximum, soit environ juste en dessous de la vitesse autorisée sur nationale. Elle fait ce qu'elle peut, ma tir ! Cela me permet de bien profiter des beautés terrestes et célestes.
    Le soleil m'éblouissait. Il donnait fort et même trop fort ! C'était anormal. Ne me laissant pas impressionner, je commençais à le fixer et Oh délire............ je voyais deux soleils................... séparés par un long nuage de traîne d'un blanc éclatant......plus blanc que blanc comme disait notre ami Coluche http://www.evene.fr/celebre/biographie/coluche-71.php?citations.
    Voulant être rationnelle en mon cerveau, j'en déduis qu'il n'y avait pas deux soleils mais un soleil et la lune. La lune en plein jour : ceci se voit couramment.
    Il se produisit alors un événement extra ordinaire. La lune elle seule, était striée par un magnifique arc en ciel, un peu comme un ballon d'enfant et semblait rebondir dans l'atmosphère. Il n'avait pas plu depuis plusieurs jours et, à ma connaissance, la lune ne dégage pas assez d'humidité pour s'ennoblir de telles couleurs ! 
    Ma ford était visiblement branchée sur pilotage automatique et heureusement, car elle devait maintenant se débrouiller sans moi.
    Quelques kilomètres plus loin, je fus déviée à l'insu de mon plein gré, comme dirait notre cycliste bien renommé. Je me suis retrouvée sur la route d'Autun http://www.ville-autun.fr/ alors que je devais suivre Tournus http://www.guide-touristique.info/tfr/visite-virtuelle/visites_flash/tournus/index.htm.......... 
    Serpentant entre vignobles et chateaux, j'ai eu le privilège d'admirer des sites inoubliables........j'ai juste fait un détour de cinquante kilomètres.
    En fait, j'avais croisé la comète de Holmes.
    A cet instant, je n'ai pensé à rien : ni à prendre des photos, ni à prévenir mon fils qui m'attendait.
    Le ciel aurait pu m'embarquer en douceur et profondeur, sans que personne ne s'en aperçoive.............


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  • naissance-bebe.jpg Mes déboires avec la légion n’avaient guère d’importance. G….. http://www.grisy.net/article-12849861.html nous annonça qu’elle attendait un heureux événement. Objectif atteind puisqu’elle cherchait le moyen de ne pas bosser.
    Je passais outre mes rancoeurs car C…. était heureux de cette nouvelle et si fier à l’idée d’être papa. J’étais contente aussi, non pas de devenir grand-mère ! Mais que C….. avance dans la vie.
    La petite serait la bienvenue, évidemment. J’espérais de toutes mes forces qu’elle n’aurait pas le caractère de sa mère et priais pour que cette hurluberlue ne lui fasse pas trop de crasses.
    Elle était déjà plus que capricieuse à l’état naturel, mais là ! Je ne vous raconte même pas ! La terre tournait autour de son nombril. Si Copernic http://www.renaissance-amboise.com/dossier_renaissance/ses_personnages/Copernic/copernic.php avait su cela, il aurait certainement révisé sa théorie.
    Je n’ai pas manqué de rappeler à G…. qu’elle n’était pas la seule femme enceinte au monde et que je n’avais aucune raison d’assouvir ses déraisons. Elle bouda, C…. me le reprocha……. Je restai sur ma position….. G…. finit par arrêter de manger de la soupe à la grimace.
    Ils déménagèrent pour un studio légèrement plus grand, toujours à Soisy. C’était au 2ème et dernier étage d’une bâtisse ancienne. Ce logement était des plus adorables : coquet à souhait et légèrement balconné. Ils avaient enfin une vraie baignoire, une vraie cuisine et pouvaient placer leur clic clac sans avoir à se marcher dessus. Tout s’arrangeait donc et G…. devint presqu’aimable. Nous programmions des virées avec talent http://www.grisy.net/article-2677207.html et commencions à avoir une vie de famille à peu près normale. J’en étais ravie et I…. aussi.
    La grossesse se passa au mieux mais G…. , toujours calculatrice, fit du bourrage de crâne à C…. pour qu’ils aillent vivre près de chez ses parents, en isère. C….. se demandait bien comment il pourrait tout lâcher : son travail, sa maman et sa sœur pour se terrer dans un bled où il ne trouverait pas de quoi nourrir sa femme et son bébé. Il n’abondait pas dans le sens de G…., qui têtue comme une bourrique, usa de ruses et offrit des équipements de montagne à C…., sachant qu’il aimait la marche au grand air.
    Elle accoucha le 16 mars 1999 à l’hôpital de Montmorency http://www.ville-montmorency.fr/heading/heading43587.html d’une jolie Romane. C... Etait sur son lieu de travail et fit fisa la route pour assister à l’accouchement. Tous les hommes que j’ai connus, ayant assisté à la naissance de leur bébé, en gardent un souvenir merveilleux, même les plus sensibles, au risque de tourner de l’œil.
    Pour une femme, c’est géant aussi. Je qualifie la seconde où l’enfant paraît, d’acte d’amour réussi. C’est un orgasme grandiose que l’on ne connaît que dans ces moments là.
    G…. ne resta que quelques jours à l’hôpital. C…, le jour de la sortie de G…., tomba dans un traquenard organisé par ses potes de travail. Il ne buvait pas, rentrait à la maison à l’heure. Ses amis ont commencé de bonne heure le matin à lui offrir le champagne. Pour une telle occasion, on ne refuse pas ! …………. Ils ont dû le raccompagner tard le soir………… Pour quelqu’un qui marche aux jus de fruits, il avait fait de sacrés mélanges d’alcool. Ils l’ont mis à l’arrière du camion de livraisons et après avoir récupéré son adresse sur un coup de fil à G….., l’ont hissé au 2ème étage. Mémorable ! Lorsqu’une personne sage fait des excès !
    G….. l’accueillit méchamment, ne tolérant pas qu’il ait pu fêter la naissance de sa fille.
    Chassez le naturel, il revient au galop ! Nous étions repartis pour une longue série de vacheries.

    ......159ème épisode..........à suivre........dans la série Biographie..................

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  • Toussaint.jpg
    A la toussaint
    Je me verrai bien
    Comme une rombière
    Les pieds en l’air
    Sirotant des tequilas
    Glacées, au bord d’un bassin
    Bleu comme le ciel
     
    A la toussaint
    Je me verrai bien
    Le nez en l’air
    Au soleil de la Méditerranée
    Orteils en éventail
    De l’oseille à foison
    Dans mes bas de coton
     
    A la Toussaint
    Je me verrai bien
    Ne rien faire  
    Que flâner encore
    Mais dehors
    L’horizon se fige
    Les chrysanthèmes par dizaines
    Ont pour mission d’égayer
    Des tombes luisantes de pluie
    Comme si….
    Comme si de fêter les morts
    Une fois l’an,
    Pouvaient ressusciter   
    Nos chagrins perdus. 
     
    Brigitte lécuyer

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  • diapo-1.jpg<<<<<< Clic sur la photo


    «Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.»


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