• (ou la descente aux enfers) 

    Pas très Franc, Franck.. 

    Franchement va falloir payer la franchise ! 

    Faire un constat, réparer les dégâts. 

    L’expertise démontre la non franchise, 

    L’escroquerie aux sentiments, 

    Il est devenu partie adverse. 

    Tricherie pour jouer sur tous les tableaux, 

    Garder son harem. 

    Décidément, j’ai trop de peine. 

    C’est un bon acteur, 

    La mise en scène est presque parfaite. 

    J’en ai des hauts de cœur. 

    Je l’aime à dégueuler, 

    Jusqu’au fin fond de mon âme il m’a blessée. 

    Je suis bonne pour la casse.


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  • Janis Lyn Joplin est née le 19 janvier 1943 à Port Arthur, Texas, petite ville sudiste, et fut initiée à la musique par ses parents.
    Très tôt, elle s'engagea en faveur des Noirs, dont l'intégration constituait alors l'un des thèmes majeurs d'affrontement au sein de la société Nord-Américaine.
    Très vite attirée par ce style de musique, adolescente, elle commença à chanter dans des cafés et des clubs folks de Houston et d'Austin.
    C'est également à Austin qu'elle rencontre R.Powel St John, avec qui elle fonde les Waller Creek Boys, trio de bluegrass.
    Dès 1960, elle enregistra des disques de tendance jazz.
    Dépressive, elle s'adonna à l'alcool et à la drogue pour oublier un physique ingrat qui lui vaudra, le titre "d'Homme le plus laid de l'universitée d'Austin". Bien qu'elle n'ait pas eu d'influence déterminante sur la musique, Janis Joplin reste une chanteuse et un personnage d'exception, interprète inégalée du mal-être et de la solitude qui l'ont forgée, pour le meilleur et pour le pire. « Sur scène, je fais l'amour à 25 000 personnes. Après, je rentre à la maison, seule. » Une simple phrase pour toute une vie.

    Janis est décédée d'une overdose le 04 octobre 1970.

    C’est, bercée encore de l’odeur outre manche et des airs de Janis Joplin plein la tête, que j’ai réintégré le bercail. J’avais rencontré ce petit bout de femme à Hide parc par une belle journée ensoleillée. Elle était toute petite et très extravagante, d’une gentillesse exemplaire et presque d’une renommée mondiale. 

    J’ai juste posé mon sac à dos à la maison et suis partie illico presto retrouver B…. au quartier latin. Nous étions heureux de nous revoir et avons entamé une relation……..avec affinités. 

    Nous vivions d’amour et d’eau fraîche. Je n’ai jamais cherché à savoir  d’où il venait ni ce qu’il faisait à Paris. B… n’était pas très grand (environ 1m75) et assez bel homme : cheveux chatains et yeux marrons. Il venait souvent me rejoindre à la maison où nous nous cachions. Personne ne le connaissait dans la famille. Une voisine nous prêtait les clefs de son appartement. Je ne me souviens plus de son nom. Elle était brune, fine, avait alors environ la quarantaine et habitait place du marché St Honoré à paris 1er (au n°1 je crois). C’est chez elle que je me suis aperçue que j’étais enceinte alors que maman venait d’avoir un accident mortel d’automobile. Maman était soignée à l’hôpital de Lille. C’est comme çà que j’ai su que les parents de B….  habitaient cette même ville. J’étais en cours de passer mon permis de conduire et n’avais pas un centime d’avance. Je suppliais B…. de m’accompagner en auto-stop à Lille pour rendre visite à maman. Il le fit. Je lui avais dit que j’attendais un enfant de lui (j’avais d’ailleurs été très maladroite, presque violente car je savais bien que ce serait là la fin de notre amour). A peine arrivés à Lille, ville totalement étrangère pour moi, il m’abandonna sur le grand boulevard menant à l’hôpital. Il faisait déjà presque nuit. Je me retrouvais donc enceinte, seule dans cette ville inconnue, à la nuit et allant voir ma mère mourante. Maman est décédée quelques jours plus tard. Heureusement l’hôpital nous avait logées, mes soeurs et moi même, dans une maison d’accueil à proximité. 

    Je ne revis B….. toujours dans le quartier St Michel – par un heureux ou malheureux hasard – que lorsque C…. (mon bébé) eut environ 3 mois. Je lui présentais son fils et il eut pour réaction de me proposer de l’argent. Je repoussais cette énorme plaisanterie. 

    Je ne l’ai jamais revu. 

    Au cours de ma grossesse (environ au 7ème mois) ma chère sœur C…. découvrit l’affaire et tenta d’entrer en contact avec la famille de B…. . Ces derniers eurent une très mauvaise réaction pensant que nous voulions de l’argent. C….. avait agi à mon insu, ce qui me mit dans une grande colère ! J’ose à peine imaginer quel marchandage elle a pu leur faire. 

    Mon fils C….. fut reconnu dans un 1er temps par moi seule, puis ensuite par mon ex mari un peu avant notre mariage en novembre 1974. C…. porte donc aujourd’hui le nom de cet illustre inconnu qui le fit beaucoup souffrir car il l’écarta de sa vie à la naissance d’I….., sa petite sœur en 1976. 

    Je n’ai rien caché à mon fils qui sait tout de cette histoire. Il  m’en a toujours voulu de ne pas être restée avec son père mais avais je le choix ?

    ...........40ème épisode..........à suivre........dans la série Biographie.......................   


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  • Lettre d'un éditeur de poésie à un poète en quête d'éditeur

    Ce que j'ai retenu .....................

    Un franc parler qui vous oblige à progresser !

    Tout poète devrait avoir lu ce livre avant de penser à se faire éditer. Il contient des conseils précieux :

    - L'éditeur cherche des lecteurs plus que des auteurs

    - Il faut s'interesser à l'éditeur pour ne pas tomber à côté de la plaque, c'est à dire se renseigner sur le genre de livres édités par l'éditeur requis. Il faut commencer par lire les titres de son catalogue.

    - Il faut personnaliser son écriture : l'éditeur recherche la nouveauté, le style

    - Le lecteur ne doit pas s'ennuyer : il faut apporter une touche de vécu pour mieux faire passer les émotions

    - Il est conseillé de se faire publier dans des revues avant de chercher à être édité. L'éditeur préfère choisir lui même ses auteurs plutôt que d'être sollicité.

    - Il est également conseillé de participer à des concours sérieux : c'est une autre façon de pouvoir se faire publier

    - Attention aux officines de publication à compte d'auteur ! C'est de la poudre aux yeux et celà coûte cher ! Un véritable éditeur ne vous demandera jamais d'argent préalable à la publication

    - Publiez vous même votre livre : la liberté de publication en france est une liberté constitutionnelle et tout citoyen peut en user. C'est en plus, un excellent moyen de comprendre les difficultés d'un éditeur et de trouver par la suite un bon éditeur.

    Quelques recommandations :

    L'oie plate

    Les annuaires AUDACE et ARLIT

    Les prix COLPORTAGE - MAX POL FOUCHET - Ilarie VORONCA - VOCATION, etc....

    Fuyez les concours qui vous réclament beaucoup d'argent.........c'est également de la poudre aux yeux et ils ne servent qu'à faire de la pub aux organisateurs.

    ............ j'espère, en vous faisant connaître ce livre de Louis DUBOST, rendre service à bien des écrivains................


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  • (Flash instantané) 

    De Bourg à Arandon, 

    Mi Bresse mi bord d’Ain, 

    Cette route est une chanson. 

    J’y ai vu un coucher de soleil 

    Aux couleurs pastelles, 

    Illuminé par une pleine lune jaune pâle 

    …. Un vrai régal ! 

    Les cîmes des sapins 

    Débordant de la montagne 

    Se donnaient la main 

    Reflétant un bleu nuit peu banal. 

    La brume enrôbait avec tant de douceur 

    Ce rose émanant des astres 

    juste posé là à la lisière des monts. 

    Pas un nuage, pas une tâche,

    seulement du bonheur. 

    J’ai vu du velours caressant le pont. 

    21h15 : carte postale d’été 

    Comme Mary Poppins j’y étais plongée. 

    Je roulais tranquille 

    Avec au cœur certainement une idylle. 


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  • (Ballade en vexin) 

    Original, calme et vert, 

    On s’y sent pépère. 

    Une douce odeur monte dans l’air, 

    C’est celle de la terre, 

    Lieu idéal 

    Pour les réflexions transcendentales. 

    Les plantes sont faites de glaise, 

    Ce sont des sculptures 

    Aux accents de nature 

    Et qui jamais ne fanent sous cette fournaise.

    L’été est chaud, 

    La mare octogonale 

    M’envoie des clins d’œil onduleux. 

    Les arbres dans le reflet de l’eau, 

    Me racontent des histoires peu banales 

    Tout en jouant avec le bleu de mes yeux. 

    Jardin de campagne 

    Où seule je me rendis 

    Avec le vague à l’âme, 

    Jardin, Oh mon jardin, de séreinité tu m’a saisie. 


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