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Fadaises
Vendredi treize
Je tente, j’essaye
Je sors ma caisse
Dans le premier rond point
Un camion fou joue les malins
Cherche à me doubler
Oh gros lard insensé !
Vendredi treize
Je feinte, je biaise,
Je ne suis pas niaise
Au tourniquet du supermarché
Un piéton fou joue collé serré
Avec son chariot veut me dépasser
Et bloque le système : coincés !
Vendredi treize
Je rêve !
Je reste zen
Je coure acheter des jeux à gratter
Il y a du monde au guichet
C’est la crise, il faut spéculer
Le gouvernement nous incite à jouer
Vendredi treize
A tous les tickets je perds
On m’a raconté des fadaises.
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Commentaires
1elisabethDimanche 15 Janvier 2012 à 12:00Il ne m'est rien arrivé ce vendredi 13. Tout va bien.... Ton poème est bien balancé ! Félicitations et bonne fin de week end.Répondre
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