• Il ne faut pas exagérer, abuser, dépasser les limites.
    Il ne faut pas avoir un comportement asocial avec quelqu'un.

    L'origine de l'expression de base 'faut pas pousser' pour 'il ne faut pas exagérer' semble tout aussi inconnue que sa période d'apparition.
    L'ajout de la mémé est là pour en renforcer le sens. Son côté cocasse en rend l'utilisation plus fréquente que 'faut pas pousser le bouchon trop loin' qui a exactement la même signification.

    C'est vrai, quoi ! Imaginez un 'sauvageon' qui surgit hors de la nuit et court vers l'aventure au galop sur sa fougueuse mobylette au pot d'échappement trafiqué, le long d'une route de rase campagne.
    Soudain, il croise une personne...

    Plus d'explications sur l'origine de cette expression sont disponibles sur notre site

     


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    Et oui mémé !! Ca me rappelle un de mes anciens poèmeshttp://arielle.eklablog.com/manigance-a112830836


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  • On a regardé l’huître comme étant placée au dernier degré de l’animalité, quoiqu’il y ait au-dessous d’elle un assez grand nombre d’animaux qui lui sont inférieurs sous le rapport de l’organisation...
     
     

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  • Arriver en retard, lorsque tout est terminé.


    Cette expression est issue de l'opéra-bouffe Les brigands d'Offenbach, qui chantaient :
    Nous sommes les carabiniers
    La sécurité des foyers
    Mais par un malheureux hasard
    Au secours des particuliers
    Nous arrivons toujours trop tard.


    La réputation des carabiniers devait être très mauvaise pour qu'il y soit fait allusion de manière aussi marquée dans le livret de cette oeuvre.

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    « Arriver comme les carabiniers  »Ceci me rappelle une petite aventure qui m'est arrivée sur mon lieu de travail :

    Dans les années 1990, les acomptes étaient versés en espèces dans un petit bureau avec guichet, tout près de la guérite des gardiens. Il ne fallait pas rater ni le jour, ni l’heure. Ce guichet était ouvert 2h par mois. J’étais une habituée des acomptes et j’allais chercher mes deniers régulièrement, le sourire aux lèvres et toujours un petit mot pour le guichetier. Ce jour là, j’avais envie de rigoler un peu plus qu’à l’ordinaire. Je pénètre très enjouée dans le box (on peu appeler ça comme ça : c’était ridiculement petit) et deux doigts en avant et pointés sur notre homme, je déclame « Hauts les mains là dedans, c’est un hold up ». J’étais fière de ma blague et tout le monde se tenait les côtes quand on entend derrière nous « Hauts les mains , c’est un hold up ». On ne se tenait plus les côtes, on était carrément pliés de rire et la voix réitère « Hauts les mains , c’est un hold up ». Ca devenait un peu lourd alors on se retourne pour dire à notre supposé pote d’arrêter là la plaisanterie.Et Oh Stupeur ! c’était un vrai hold up avec de vrais armes et de vrais mecs cagoulés. Ils nous ont fait mettre à plat ventre dans la cour de l’usine, les bras le long du corps, tout en nous tenant en joue. Ils ont vidé la caisse et sont partis « finger in the nose »………les doigts dans l’ nez.Une demi heure après la fuite des cambrioleurs, la police arrive « finger in the nose »………, menant un train de sénateur. Evidemment, ils avaient bougé leurs popotins pour rien, l’urgence étant passée. Alors, ils se sont défoulés en alignant toutes nos voitures garées le long de l’usine. Pas de doute, ils ne s’étaient pas déplacés en vain……..leur pêche a été fructueuse, à défaut de récupérer le butin.Il y eut enquête car tout indiquait que ce coup fumant n’avait pas pu se réaliser autrement qu’avec des complicités internes. Et savez vous qui c’est y qu’on a soupçonné en premier ? je vous le donne en mille : ma pomme.Plus jamais, je n’ai levé ne serait ce que le petit doigt envers un caissier ou autre du genre. Telle a été prise qui croyait prendre !


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  • Ecrire des vers à vingt ans, c'est avoir vingt ans.
    En écrire à quarante, c'est être poète. ( Francis Cargo)
    Ecrire de la poésie à 60 ans et plus, c'est décider de ne plus vieillir ....

    Photo de Thierry Montgaillard.

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