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Par ariellea Poesie le 12 Mars 2014 à 12:00
Paroles de Prosper DOSGILBERT à chanter sur l'air de "Mon Paris"
http://www.youtube.com/watch?v=HxCvdWTS6HE&hd=1
Thiers est bâtie sur un côteau
C'est mon pays, le pays le plus beau
La capitale de coutellerie
Et la thiernoise, c'est la femme jolie
Toute petite quand elle est au berceau
Et caressante comme un petit agneau
Elle commence ses ébats
En faisant de tout petits pas
Refrain
Ah ! Qu'elle est belle la thiernoise
De mon pays, mon beau pays
On écoute son babillage
C'est si mignon quand c'est petit
On la voit en sautillant
Qui, tout près de sa maman,
Elle attire tous les passants
On dirait une poupée
Qui est bien articulée
Mais trop jeune pour l'acheter.
Ah ! Qu'elle est belle la thiernoise
De mon pays, mon beau pays !
Quand elle part le matin
Très souriante, son petit sac à la main,
Se dirigeant vers l'atelier
Très laborieuse et jamais fatiguée.
Quand vient le soir, la journée bien finie,
Vous la voyez se presser au logis
Dans la rue, faut la voir passer
L'allure simple et dégagée.
Refrain
Ah ! Qu'elle est belle la thiernoise
De mon pays, mon beau pays
Quand elle s'en va à l'ouvrage
Dans les usines de coutellerie
Elle a les mollets bien faits
Et deux jolis ballonnets.
La thiernoise a du succès
Dans ce pays montagneux
L'on devient vite amoureux
Du regard de ses grands yeux.
Ah ! Qu'elle est belle la thiernoise
De mon pays, mon beau pays !
Quant le dimanche apparaît
Sous les regards des curieux indiscrets
Au Breuil elle va s'amuser
Très gentiment au bras de son fiancé
Elle lui dit "Je t'aime mon amour !"
Il lui répond "J'aime tes cheveux courts !"
Et enlacés dans un tango
Il lui murmure ces quelques mots :
Refrain
Ah ! Qu'elle est belle la thiernoise
De mon pays, mon beau pays
C'est le moment du mariage
L'on est unis, c'est pour la vie
Et l'on a de beaux enfants
Si jolis que la maman
C'est parfait, l'on est contents
Et les jours suivent leur cours
En pensant à ses amours
Qui font renaître les premiers jours
Ah ! Qu'elle est belle la thiernoise
De mon pays, mon beau pays !
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Par ariellea Poesie le 3 Mars 2014 à 12:00
Simone LeVaillant m'a envoyé la photo ci-dessous et nous avons décidé d'écrire chacune un texte s'y rapportant.
Et voilà le résultat !
Le texte de Simone : http://chezsimone.over-blog.com/article-lulu-handi-122792157.html
Le mien ci-dessous
Drôle de jeu de rôle
Imiter une image lors d’une balade
Est déjà une expression théâtrale
J’ai vu une petite fille bien sage
Jouer à ce jeu de rôle peu banal
Elle stoppa net sur un logo au sol
Posa sur le fauteuil ses guiboles
Tendit un bras, un seul, sans bémol
Respect du profil, copie conforme
Sans aucune marque de différence
Elle donnait vie au goût trop rance
Du handicap avec ses malchances
Figée là, la tragédie était intense
En son cœur si généreux résonnait
L’espoir d’être simplement remarquée
Que celui qui occuperait sa place osée
Prenne conscience d’être bien né.
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Par ariellea Poesie le 25 Février 2014 à 12:00
Cinq capucins, ceints de corps et sains d'esprit, portaient sur leurs seins le seing du Saint-esprit !!!
Curieux notre français, n'est - il pas ?
>On appelle ceci des "Homographes non homophones"
> Car ces mots s'écrivent de la même façon mais se prononcent autrement suivant le sens....
>
> En français : deux mots composés des mêmes lettres se prononcent toujours de la même façon !
> En êtes - vous bien sûr ?
> Voici quelques exemples d’homographes de prononciations différentes !
>
> Sortant de l'abbaye où les poules du couvent couvent, je vis ces vis.
> Nous portions nos portions, lorsque mes fils ont cassé les fils.
> Je suis content qu'’ils vous content cette histoire.
> Mon premier fils est de l’'Est, il est fier et l’'on peut s'’y fier.
> Ils n'ont pas un caractère violent et ne violent pas leurs promesses, leurs femmes se parent de fleurs pour leur parent.
> Elles ne se négligent pas, je suis plus négligent.
> Elles excellent à composer un excellent repas avec des poissons qui affluent de l’'affluent.
> Il convient qu’elles convient leurs amis, elles expédient une lettre pour les inviter, c'’est un bon expédient.
> Il serait bien que nous éditions cette histoire pour en réaliser de belles éditions.
Voyons aussi aussi quelques exemples d’homographes de même prononciation :
> Cette dame qui dame le sol.
> Je vais d'abord te dire qu'elle est d'abord agréable.
> A Calais, où je calais ma voiture, le mousse grattait la mousse de la coque.
> Le bruit dérangea une grue, elle alla se percher sur la grue.
> On ne badine pas avec une badine.
> En mangeant des éclairs au chocolat à la lueur des éclairs...
> En découvrant le palais royal, il en eut le palais asséché.
> Je ne pense pas qu'il faille relever la faille de mon raisonnement.
>
> Voici l'exemple le plus extraordinaire de la langue française ! (mots de sens différent mais de prononciation identique)
> Le ver allait vers le verre vert
>
> 1. Le plus long palindrome de la langue française est « ressasser » - On peut donc le dire dans les deux sens. .
> 2. « Squelette » est le seul mot masculin qui se finit en « ette »
> 3. « Institutionnalisation » est le plus long lipogramme en « e » - C'est-à-dire qu'il ne comporte aucun « e ».
> 4. L'anagramme de « guérison » est « soigneur » - Et vice et versa.
> 5. « Où » est le seul mot contenant un « u » avec un accent grave Il a aussi une touche de clavier à lui tout seul.
> 6. « Endolori » est l'anagramme de son antonyme « indolore » - Ce qui est paradoxal.
> 7. « Délice », « amour » et « orgue » ont la particularité d'être de genre masculin et deviennent féminin à la forme plurielle.
> Toutefois, peu sont ceux qui acceptent l'amour au pluriel.
> 8. « Oiseaux » est, avec 7 lettres, le plus long mot dont on ne prononce aucune - des lettres : [o], [i], [s], [e], [a], [u], [x)
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Par ariellea Poesie le 22 Février 2014 à 12:00
http://monik63.waibe.fr/galerie-1--peintures-sur-toiles.html
Poussez la porte et abracadabra
Vous voici dans une p’tite galerie
Bien sympathique. Elle est là,
Elle peint et rien ne peut nuire
A son inspiration. Je chavire
Elle immortalise sa ville avec cœur
Elle portraiture, déguise ses murs
De bannières hautes en couleurs,
Fier ornement de la cité , culture
Flottant au gré du vent, art de rue
C’est un palais d’émotions où vibre
Corde sensible et riches sensations
Ses doigts caressent en tout plaisir
Une palette magique et des crayons
Une fée siège là dans un tourbillon
Elle croque et j’ai envie de mordre
A pleines dents dans ce tableau
Aux agrumes si appétissants. Ogre
Je deviens, je dévore le fin pinceau
Si divinement doué depuis le berceau
Poussez la porte et abracadabra
Ecarquillez prunelles, communiquez
Vous êtes dans l’enceinte d’un palace,
Un petit lieu convivial et enchanté
Une p’tite galerie digne d’un palais.
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