Pour ses 37 ans, j’avais invité Fr…. au restaurant espagnol, rue Mouffetard à Paris http://www.anous.fr/paris/un-quartier/mouffetard-contrescarpe/5651.html . Fr..... m’avait tellement délaissée en janvier http://www.grisy.net/article-23967848.html  que je m’attendais à ce qu’il me pose un lapin ce 2 février. Et bien non. Il est venu, s’était fait beau et nous avons fêté son anniversaire comme je l’espérais. Il était heureux…au moins ce soir là et le lendemain nous sommes allés nous promener aux puces http://www.qype.fr/place/108004-Marche-aux-puces-de-Clignancourt-St-Ouen/photos/194312 , toujours à Paris. Nous avons acheté des masques africains et je lui ai offert un  djembe (tam tam) http://fr.wikipedia.org/wiki/Djemb%C3%A9 . Ce fut un excellent week end qui nous a rapprochés et les choses semblaient reprendre leur cours normal. Mon amour revenait me voir souvent et m’a même proposé de faire la surprise à C….., mon fils. « Si on débarquait à l’improviste à Voiron pour l’anniversaire de ton fils ? On partirait le 14 et on reviendrait le 20, j’ai des jours à récupérer ». Vous imaginez ma joie ! Je n’osais pas y croire jusqu’à l’heure du départ et mon rêve s’est réalisé. Nous sommes partis le 14 février, jour de la Saint Valentin http://www.grisy.net/article-16621262.html . Voyage en amoureux, voyage très réussi et agréable surprise pour C…...

Mais voilà ! Quand je dis que les choses semblaient être redevenues normales, c’est bien qu’il s’agissait de semblant ! Bien que Fr…..  soit souvent près de moi, il était distant et nous ne faisions que très peu l’amour. Il me donnait de l’amitié mais pas d’affection. Pourtant il se comportait comme si nous étions un couple. Alors je souffrais et je cherchais à comprendre. Je provoquais les discussions et j’allais de désillusion en désillusion. J’étais convaincue qu’il s’était passé quelque chose début janvier lorsque nous étions rentrés de Voiron et je n’arrivais pas à savoir quoi. En janvier, Fr…… m’avait abandonnée. Maintenant il me disait qu’il ne fera pas sa vie avec moi et qu’il pourrait très bien me laisser tomber du jour au lendemain, que nos 2 ans et demi resteraient un bon souvenir mais qu’il ne souffrirait pas, qu’il voudrait que je devienne une bonne copine et non plus une maîtresse. J’étais en plein cauchemar ! Il me disait qu’il ne voulait pas que notre union soit dévoilée et me soupçonna même d’avoir parlé car ses collègues de travail lui avaient dit « tu aurais pu éviter de prendre des congés en même temps qu’Arielle ». Tout le monde s’était chargé de colporter que nous étions partis ensemble et voilà ! Les ragots me retombaient dessus ! Je lui ai reproché de ne pas me faire confiance et il a cessé ses conneries mentales.

Fr….. voulait profiter de la vie, s’amuser et ne plus s’embêter avec une femme. Il avait peur que je l’enchaîne comme le font la plupart des femmes et par crainte, il préfèrerait stopper notre liaison. Il était très mal dans sa tête et c’était à cause de son divorce. Sa femme l’avait beaucoup trop trahit et il me rejettait, pensant que j’étais comme toutes les autres. Lui qui analysait tout avec tant de justesse d’habitude, n’était pas fichu de faire la synthèse de notre amour. Personne ne lui laissera jamais autant de liberté et à la hauteur de mes efforts. Il faisait ce qu’il voulait, quant il voulait et avec qui il voulait depuis que nous nous connaissions et je ne lui posais jamais de question mais le recevais avec le sourire et chaleureusement. Tout ce que j’avais encaissé jusque là, personne ne l’aurait supporté. Il fallait une sacrée dose d’amour ! Et çà….il ne le voyait pas.