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Au Japon, la croyance populaire est que lorsque vous éternuez quelqu'un parle de vous « derrière votre dos » et selon le nombre d'éternuements consécutifs, on peut l'interpréter ainsi :
- Un éternuement : une personne parle de vous en bien (ou de façon positive),
- Deux éternuements : une personne parle de vous en mal (ou de façon négative),
- Trois éternuements : une personne parle de vous amoureusement,
- Quatre éternuements : c'est un rhume.
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Le 1er mai est riche de traditions comme ; chanter le mai, donner le mai, danser le mai....
" Chanter le mai " ; se fait encore aujourd'hui du Bourbonnais à la Gruyère en passant par la Wallonie. Il se chante surtout pour choisir l'être aimé(e), ou comme charivari pour ennuyer les mauvaises gens
" Donner le mai " ; signifie déposer une fleur ou un rameau la nuit du 30 avril au 1er mai devant la porte de sa dulcinée (une simple tige peut signifier le contraire et chaque essence d'arbre avait une signification précise), la belle, la tant aimée, en remerciement offraient gâteaux et boissons au(x) prétendants(s).
" Danser le mai " ; est une coutume dans le monde germain c'est le " Tanz in den Mai" mais surtout, c'est la nuit de Walpurgis (associée au " sabbat des sorcières ") jusqu'en Scandinavie.
Dans le monde anglo-saxon, c'est le may day, riche de chants et de charmes, fortement marquée par la pratique de l'arbre de mai (ou mât de mai, meyboom, maibaum).
Clic ci-dessus pour écouter un extrait
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Sous les tuilettes de Gargilesse
Se cachent de nobles richesses
Je m’y promène de voûte en voûte
Cernée de fresques de bon goûtTaillés dans la pierre, légendes
Et animaux fantastiques du genre
Nous racontent le Berry profond
Avec sa symbolique, ses créationsSerrées autour du château, ruelles
Aux charmants foyers intemporels
Semblent issues de contes de fées
On croit entendre une harpe l’étéAu moulin, je me suis baignée
La creuse sauvageonne grouillait
D’ablettes, de gardons, de tanches
J’aurais aimé croiser George SandJ’ai visité sa modeste chaumière
J’ai humé son ambiance familière
La grosse chaise tressée de paille
Me parlait d’un village sans failleA ses pieds murmure le torrent
Calme et limpide, chatouillant
Les fortifications du manoir
Etrange cité, terre de savoir.
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