• C'est ce que j'écoutais lorsque j'étais jeune !

    .... une sacrée mise en boîtes .....  
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  • ........ C'est une huile imaginaire que des chimistes charlatans se vantent de tirer du talc.......  qu'ils disent être un fard merveilleux pour conserver le teint, parce qu'il a été, en effet, beaucoup vanté par les anciens et par le peuple arabe.

    Mais ce mot de "talc" chez eux, ne signifiait autre chose qu'une égale disposition des humeurs, qui entretenait le corps en un bon tempérament et en une parfaite santé.

    Or, comme il n'y a rien qui contribue plus que la santé à conserver la beauté du teint, cela a donné lieu aux chimistes de rechercher cette huile de talc qui maintenait le corps en cette disposition, et d'engager les femmes à faire la dépense de cette recherche.










    Quelques uns ont cru aussi qu'on en pouvait tirer un menstrue (dissolvant humide, qui, pénétrant dans les plus intimes parties d'un corps sec, sert à en tirer les extraits et teintures et ce qu'il y a de plus subtil et essentiel) pour la transmutation des métaux en or ou en argent ,
    ou une médecine universelle capable de guérir tous les maux qu'on tient incurables............

    ......... Mais c'est encore une pure charlatanerie !

    Source : Les mots obsolètes de Antoine Furetière


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  •    Fr…. me contait de belles fleurettes et notre amour/amitié allait bon train http://www.grisy.net/article-36279663.html . Il m’invita à la fête du hareng à Etaples http://www.tourisme-nordpasdecalais.fr/tourisme/le-hareng-roi-d-etaples-novembre-2009.html . C’était une très bonne idée car cette fête tombe pile poil pour mon anniversaire, en novembre.

    Le soleil tentait de réchauffer un froid sec, tandis que les étals s’activaient au son d’accordéons. Les harengs fumaient sur les barbecues et embaumaient la place, tout près du port. Du hareng comme ça ! si tendre et fort à la fois, se mange avec les doigts…….. L’ambiance battait son plein, comme on sait si bien en profiter dans le pas de calais ! Nous nous laissions embrumer par les chants et danses mêlés aux grillades, un halo joyeux trônait sur nos têtes et dans nos cœurs.

    C’est bien repus que nous avons regagné la voiture, garée après le pont rose  http://aghve.verton.free.fr/E-AGHVE/E-PAGES/ETAPLES%20PAGE%201.html enjambant la canche. Nous menions un train de sénateur et Fr…. regardait la mer. Il s’arrêta au centre du pont et entâma une discussion des plus sérieuses. Il fit le voeu que, après sa mort, je jette moi même ses cendres à cet endroit précis et je lui fis cette promesse :

     

    Le pont rose

    promesse à un ami grâvement malade

     

    La fête foraine battait son plein,

    Nous remontions le pont rose,

    Bras dessus, bras dessous, guillerets.

     

    Avec bonheur, nous humions l’air marin,

    Tu stoppas là, morose,

    La canche vers la mer remontait.

     

    Nos regards se posèrent là, sereins,

    Les coques des bateaux, toutes en osmose,

    Tangaient aux rythmes des marées.

     

    Une paix blanche nous tenait la main,

    Avec aisance, nous fîmes une pause,

    Le silence nous embauma, déjà tu rêvais

     

    Que cet instant figé marquerait ta fin,

    Que tes cendres, vieille branche, je dépose

    Dans le courant violent, à marée basse et en été

     

    Et que, pour ta revanche, tu te transformerais en poudre de perlinpinpin,

    Tu ferais la planche, les yeux dans les cieux, pour cause

    Et je prierais.

     

    Tu voguerais vers la manche, enfin !

    De ta vie de débauche, je ferais le deuil et je verrais rose,

    Comme ce pont où ton inspiration fut née.

     

     

    De retour à Merlimont, dans un silence profond où chacun semblait se recueillir, nous passâmes une soirée sereine, ce qui était plutôt inhabituel chez nous. Une paix tranquille avait envahit la maison, Fr…. semblait soulagé.

    Il me prit tendrement la main et, les larmes perlant sur ses joues, voulut m’embrasser et reprendre notre liaison…….. hou ! je retenais ma respiration, j’expirais, j’inspirais enfin………. Hou la la ! J’émettais quelques réticences. Je le priais de me laisser du temps, lui expliquant de nouveau combien il m’avait blessée, combien la cicatrice était restée fragile, à fleur de cœur. Il me regardait sans mot dire et sans maudire et doucement, refit une tentative, puis une autre.

    Je finis par accepter son baiser mais la crainte était là et m’empêchait toute sensualité. Je n’y arrivais plus ! Nos années passées me retournaient les tripes et je freinais forcément le trip.

    Je partis me coucher.

    Il était silencieux et caressait son chien. J’étais persuadée qu’il allait débarquer dans ma chambre…. C’est qu’il est tétu le mec ! je le connais par cœur.

    Je m’endormais lorsque monsieur fit son entrée, en peignoir, accompagné de Balzac. Il se glissa près de moi « tu dors ?» « tu es sûr que c’est bien raisonnable ? ». Pour faire diversion, il commença à jouer avec son berger allemand, l’invitant à monter sur le lit. Ah ! grrrrrrr….. l’horreur ! je déteste ça mais il savait bien que je craignais son chien et en jouait ! Quel tordu ce type !!

    Balzac finit par se coucher au pied du lit et….. et bien ! j’étais dans de beaux draps !! C’était devenu inévitable, j’allais passer à la casserole. Il se trémoussait contre moi et je restais de glace. Il voulait, il désirait plus que tout et je le repoussais avant tout. Et il insistait, et il s’excitait et……. Il se calma, la bête ne faisant plus son office. Ouf ! Pour une fois, l’impuissance me faisait jouir ! jouir de victoire, jouir de tranquilité….. au moins, je ne craignais plus rien.

    Morphée nous prit dans ses bras et je fis de beaux rêves. En fin de compte, je voulais vivre avec lui mais je ne voulais plus avoir de rapports sexuels. Mon souhait allait il se réaliser ? Sa maladie l’avait bien diminué mais comment un homme vit il ce handicap ?….. surtout lorsqu’il se nomme Fr…. et croit dur comme fer qu’il est invincible.

    ......... 322 ème épisode ............. à suivre .......... dans la catégorie "biographie"


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  • CHS........ Catherine SINCLAIR <<< clic

    Nous étions au lycée ensemble,
    Nous nous sommes retrouvées 36 ans après !
    Et voilà pas qu'elle nous refait le portrait........ (voir sur la droite du blog)

    Je lui ai demandé ce cadeau pour l'anniversaire de ma fille : et voilà le travail !

    Vous lui envoyez la photo ..........                                  
      Et elle manie le pinceau !




    Je vous invite vivement à visiter son blog http://www.arts-sinclair.com/

    ........ à toi, l'artiste, je veux dire BRAVO


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  • Un jugement empreint de sagesse et d'équité
    Un jugement qui partage les torts entre deux parties

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    Né vers 970 avant Jésus-Christ, le roi Salomon ne vécut qu'une quarantaine d'années. Mais quand on sait qu'on lui attribue sept cents épouses et trois cents concubines, on imagine qu'il a dû se tuer à la tâche.

    La Bible nous raconte que deux mères se disputant un enfant furent amenées devant le roi pour qu'il tranche, si l'on peut dire. En fait, une des deux mères avait étouffé son enfant par inadvertance et voulait s'approprier celui de l'autre femme.

    En l'absence de tests ADN, ne pouvant que difficilement savoir qui était la véritable mère de l'enfant, chacune prétendant avec force dire la vérité, Salomon ordonna de trancher le petit être en deux et d'en donner une moitié à chaque femme.
    Même si l'histoire ne précise pas si le partage aurait été fait dans le sens de la hauteur ou de la largeur, on aurait pu appeler cela un partage équitable.



    Mais la véritable mère ne voulant évidemment pas que son enfant soit découpé, alors que l'autre était d'accord, elle annonça préférer céder l'enfant.
    En l'entendant, Salomon qui n'espérait que cela, sut qui était la vraie mère et lui fit remettre le bébé.

    Et tout Israël fut rapidement au courant de la sagesse de ce roi qui savait comment rendre une justice équitable.

    C'est tout simplement de cette histoire, de ce jugement intelligent et perspicace, quoiqu'un peu brutal si la mère n'avait pas cédé (mais rien ne dit que Salomon serait allé au bout de sa menace), que l'expression est née.


    Source
    http://www.expressio.fr


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